Récit initiatique d’un humble cherchant en quête de lumière … à lire sa prose vous vous y retrouverez !
TITRE : « Voyages à l’Ombre de la Lumière«
AUTEUR : Pierre Jacquemin
EDITEUR : Arpents Riveneuve
RESUME : Une cinquantaine de poèmes en prose. Un long voyage initiatique … Cinq étapes jalonnent d’épreuves une laborieuse traversée inattendue d’immensités slaves, de paysages grecs et égyptiens. A la recherche de la Lumière…
La première épreuve, c’est la Terre, ici-bas, socle de la spirale émancipatrice. La deuxième, c’est la Coupe d’Amertume qui guérit dans la douleur et force le passage vers un autre niveau. La troisième, c’est la Force du Désir, puissance de vie qui s’efface et s’éteint au dernier poème de l’étape. Vient ensuite celle marquée par la Beauté, la Sagesse et les grands enseignements qui s’ouvrent aux quatre éléments, de l’origine de l’Orient à l’aboutissement bouleversant qu’amène le Couchant.
L’accomplissement du voyage, la cinquième halte, la dernière, la Lumière qui surgit dans l’éblouissement du divin …
Pierre Jacquemin convie le lecteur, à travers ce recueil de poèmes, à un itinéraire à travers les terres slaves et grecques à l’aube du déchirement de l’ex-URSS. Un voyage dans le passé, qui se veut avant tout voyage initiatique conduisant à la découverte et à une certaine connaissance de soi.
Biographie de l’auteur
Pierre Jacquemin a étudié le serbe et le grec moderne à l’Université de Bordeaux III. Passionné par les Balkans, il parcourt l’Ex-Yougoslavie, la Grèce, et découvre plus tard, avec fascination, l’Egypte, lors de ses recherches très personnelles sur le grand poète alexandrin de langue grecque, Constantin Cavafy. Il publiera, sur ce sujet, deux essais aux Editions Riveneuve, Paris. Ces nombreux voyages auront également donné naissance à ce recueil de poèmes.
Mon poème « préféré »
Volupté
Il avait regardé l’océan des toits par la fenêtre de sa chambre. Il venait de se lever et la fatigue encore se faisait lourde en lui comme une volupté. Au bout des toits, commençait le ciel, un ciel tout blanc et qui n’exprimait rien.
Alors la douce volupté s’était effacée comme un drôle de rêve.
C’est qu’il avait compris soudain l’immensité grandiose de sa solitude…