Une Vie d’Homme, Un Souffle de Vent de Yvan Strelzyk
Pourquoi Napoléon glissait-il si souvent la main sous son gilet ? Pourquoi Schubert n’a-t-il jamais terminé sa « Symphonie inachevée » ? Qui a donné à Mary Shelley l’inspiration de son « Frankenstein » ? Qu’a vraiment dit Cambronne à Waterloo ?
Autant de questions, plus quelques autres, qui trouveront ici leurs réponses facétieuses.
Sous ses airs faussement sages de roman d’apprentissage, ce petit livre bouscule les figures tutélaires du premier romantisme, du grand Goethe un peu rassis à Lord Byron en séducteur impénitent, du peintre Caspar David Friedrich à ce vantard de Chateaubriand, en passant par les adorateurs exaltés de la Fleur bleue de Novalis, les élans fantasques de cette bonne Madame de Staël, la mauvaise humeur d’un Beethoven sourd comme un pot, le poète Heine dans les vapeurs d’opium et même les derniers Frères francs-maçons du divin Mozart… Vous avez dit « Ossian » ?