Elle a envoyé un homme portant une pancarte « Fuck the poor » (traduit par « j’emmerde les pauvres« ). Interloqués par l’affiche, les passants s’arrêtent pour dire qu’ils sont révoltés et qu’ils sont écœurés.
Plus tard, le même homme a porté une autre pancarte où était inscrit « Help the poor ». On voit que très peu de personnes s’arrêtent.