Voici une présentation d’un des romans à clés maçonniques de Jack Chaboud, qui fait suite à une présentation aux côtés d’auteurs anglais et prestigieux, dans la librairie du Petit Palais, dans le cadre de l’exposition Walter Sickert.
Un grand peintre : Walter Sickert
Tout le monde connaît Jack l’éventreur, et sans doute Léo Taxil, mais en France, on ignore
Qui fut Walter Sickert. Grand peintre anglais de la fin du XIX° siècle et du début du XX°, victime de l’ombre qu’il pouvait porter à nos post-impressionistes. Personnage élégant, lié à la famille royale aussi bien qu’aux bas fonds de Londres, Sickert prétendit avoir connu Jack l’éventreur et acquit ainsi une sulfureuse réputation qui l’installa dans le monde de fantasmes où sévissait le tueur en série, mais aussi de soi disant assassins francs-maçons.
L’exposition au Petit Palais, jusqu’au 29 janvier 2023.
Paris rend enfin l’hommage que mérite Walter Sickert avec cette exposition, et présente dans la librairie du Petit Palais, trois œuvres littéraires qui ont mis le peintre en scène, dont les auteurs sont Oscar Wilde, Virginia Woolf… et Jack Chaboud.
Le signe de détresse
Le héros de ce roman à multiples clés maçonniques, publié en 2018, est impliqué dans l’affaire Léo Taxi suite à de sombres machinations antimaçonniques, mais il va aussi rencontrer Walter Sickert dans un bordel de Withechapel, devenir un ami du peintre, et en recevoir d’étonnantes révélations sur Jack l’éventreur.
Le signe de détresse. 262 pages. Jack Chaboud. Dervy.