« Dernier Apprenti Entré » se veut être le 1er roman de science fiction maçonnique publié sur le site/blog de « Freemasonry.fr » que je vous avais présenté il y a quelques temps (ICI).
Ecrit par Al-Quin, le Chapitre 1 de 12 pages, téléchargeable depuis le site, conte l’histoire du jeune Lewis, en 2142, dans un futur où rien ne s’est passé comme prévu, où l’homme a été remplacé par la machine, et où la liberté n’existe quasiment plus ….le tout avec des francs-maçons bien entendu !
Et pour tout vous dire c’est un régal et vivement la suite….
Extrait :
L’histoire débute dans le Grand Lyon le 25 Juillet 2142….
Lovée entre deux montagnes, en plein cœur d’une vallée ensoleillée, la ville avait connu une période faste et prospère, accueillant une population pleine de vie et d’entrain. C’était autrefois. Aujourd’hui, le silence était absolu dans cette nuit estivale où l’on n’entendait pas même un chien aboyer au lointain.
Dans le ciel caché par de sombres nuages, le halo d’une lune ronde fit irruption dans la rue déserte. Ça et là, quelques gravas et autres morceaux de verres jonchant le sol reflétèrent cette lueur. Derniers témoins des affrontements qui appartenaient désormais au passé.
Plus personne n’habitait la ville. Plus depuis que les Synthétiques avaient déporté les habitants pour les reloger dans les cantonnements des usines du Nord de la région.
Un semblant de vie avait repris quelques années plus tard, lorsque la résistance avait élu domicile dans le centre-ville. Mais les légions du général synthétique Cowan avaient eu raison de cette dernière bulle de liberté.
Ce jour-là, les caniveaux déversaient des torrents de sang et de larmes pendant que les bâtiments brûlaient d’un feu si vif qu’il faisait fondre les pierres.
Paradoxalement, des cendres la vie était revenue, sous forme végétale. Des arbres avaient poussé un peu partout au milieu d’un enchevêtrement chaotique d’arbustes, de lierres et autres plantes grimpantes luminescentes.
Les plantes luminescentes étaient apparu peu après le début du conflit, suite aux attaques chimiques des synthétiques. La nature s’était adaptée, et avait développé, sans que quiconque sache pourquoi, une capacité à rendre toutes les plantes lumineuses. Vu du ciel, le monde n’était plus qu’une vaste planète brillante lorsque le soleil n’éclairait pas une de ses faces.
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