L’article, comme à son accoutumée, évoque la franc-maçonnerie en générale et localement !
Extrait : Extérieurement, aucun signe distinctif ne renseigne le voyageur sur l’usage du bâtiment. « Plusieurs de nos temples ont été bariolés de tags dans la région parisienne », soupire l’un des frères réticent sur la publicité à donner à l’événement. « La franc-maçonnerie n’a rien à cacher. Tout est sur Internet. Le seul vrai secret est le rite d’initiation. Il ne s’explique pas. Il faut le vivre », tranche José Gulino, le premier représentant du Pas-de-Calais à accéder au rang de grand maître depuis le XVIIIe siècle, en guidant la visite inaugurale pour quelques élus. Dont quelques-uns que cet ingénieur des travaux publics a côtoyés dans son ancienne vie de directeur adjoint du conseil général.
« Nous avons déménagé par nécéssité », leur dit-il en leur expliquant que la commission de sécurité ne donnait plus son feu vert pour le temple de la rue Aristide-Hurbiez, construit après la Grande Guerre selon les normes du nombre d’or, parce qu’il ne comportait pas d’issues de secours pour l’évacuation. Qu’en outre de gros frais auraient dû être engagés pour mettre le bâtiment en conformité avec les nouvelles normes d’accessibilité. Il y a deux ans et demi, la Socofim, société immobilière du Grand Orient de France a décidé de vendre sa propriété béthunoise et de construire à la périphérie. Il a acheté un terrain à Artois Comm. et fait appel à un architecte arrageois, Jean-Louis Descamps.
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