LE PONT : J’AVAIS DEVANT LES YEUX LES TÉNÈBRES
Le pontJ’avais devant les yeux les ténèbres J’avais devant les yeux les ténèbres. L’abîmeQui n’a pas de rivage et qui n’a pas de cime,Était là, morne, immense ; et rien n’y remuait.Je me sentais perdu dans l’infini muet.Au fond, à…