Et bien entendu les commentaires sur l’éditorial sont assez « sympathiques », comme on peut l’imaginer.
– « Les Loges aussi... » : http://www.midilibre.com/articles/2009/10/21/MONTPELLIER-Les-francs-macons-contestent-le-remboursement-966862.php5
Les loges sont aussi victimes de la crise du logement ! La crise du logement toucherait-elle aussi les francs-maçons montpelliérains ? Selon plusieurs témoignages, les différents locaux qui abritent les ateliers de toutes les obédiences affichent des plannings très encombrés. Et certaines loges à l’étroit se sont finalement résolues à reprendre la direction de l’allée de Bosserville, en dépit de la perspective de devoir rembourser l’importante subvention municipale qui a, selon nos confrères de L’Express qui ont consacré un article à ce sujet, nécessité l’augmentation de 50 € de la capitation annuelle versée par chaque membre. L’absence de locaux disponibles a également conduit le Cercle culturel languedocien, l’association gestionnaire du nouveau temple de Garosud, à déposer il y a
– « Montpellier Subventions : les francs-maçons contestent le remboursement » : http://www.midilibre.com/articles/2009/10/21/MONTPELLIER-Les-loges-sont-aussi-966882.php5
JUSTICE : L’association qui gère le temple de Bosserville demande l’annulation de l’obligation à verser 400 000 ? à la Ville
Les associations maçonniques devront-elles honorer une facture de 400 000 € présentée par la Ville ? On pensait le contentieux lié aux subventions publiques attribuées au temple de l’allée de Bosserville – et initié en 2006 par l’Association des contribuables héraultais – en voie de règlement financier.
En janvier 2009, la cour administrative d’appel de Marseille avait notamment rejeté la demande de sursis à exécution, déposée par l’association du Centre culturel Montpelliérain – la structure qui abrite les loges maçonniques (1) – condamnée à rembourser 500 000 € d’aides accordées par la Ville et la Région. Hier cependant, le dossier est revenu une nouvelle fois devant le tribunal administratif de Montpellier, le Centre culturel montpelliérain ayant choisi de demander l’annulation