J’accuse !
J’accuse le monde d’avoir laissé croire à l’homme qu’il était son maître ! J’accuse les hommes d’imaginer que rien ne peut changer !
Quand ? Comment ? Pourquoi ?
Je voudrais savoir qui est responsable de tout cela ? Mais est-il temps, encore, de se poser des questions ? Sont-ce les questions qui font avancer le monde, ou bien les réponses ? Est-il temps, encore, de crier ? De hurler ? Comment se faire entendre ? Briser les rouages d’une machine pour laquelle l’être humain n’est que figuration. Qu’avons nous envie de dire aujourd’hui pour vivre ?… Comment voulons nous le dire ?… Et surtout… comment pouvons nous le dire ? Est-ce que la communication est un art ? L’art est-il un moyen de communiquer ? Je ne sais pas ! Je ne sais plus !… Tout ce que je sais c’est que je ne sais rien ! Alors je me fie à mon instinct, la survie passera donc par l’art qui est mon moteur, le théâtre et la création mon essence. Le monde à ses limites, pas l’esprit, pas la création… La réalité est-elle celle que l’on nous impose ? Je vous invite cette année et toutes les suivantes à changer les rêgles, à suivre votre instinct, à vous battre contre toutes formes de dictatures modernes, à trouver vos armes spirituelles et à avancer. Car ce qui compte, ce n’est pas le but ou la finalité, mais le moyen d’y arriver et le chemin emprunté.
Blaise Pascal disait : “Penser fait la grandeur de l’homme !”
Alors soyons grand ! Essayons de penser ! Encore !…
Alexandre Josse