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QU’EST CE QUE LA FRANC-MAÇONNERIE A FAIT POUR MOI ?


Que que chaque frère qui comprend la question réponde par lui-même. Mais qu’il réponde avec soin et avec lentille; pas à la hâte et avec insouciance.

La plupart de ces frères donneront une réponse semblable à la celle-ci :

« La franc-maçonnerie m’a apporté de la douceur dans ma vie ; la douceur de la fraternité, le sentiment d’union avec mes compagnons. Dans votre refuge, je me suis fait beaucoup d’amis ; des amis que je n’aurais pas ou que je n’aurais pas pu me faire autrement. J’ai reçu d’eux ce sourire joyeux, cette parole d’aide qui aplanissait les passages difficiles du chemin de la vie; J’ai déjà reçu des encouragements, du courage, un courage qui a rendu la bataille plus facile à gagner.

« La franc-maçonnerie m’a donné le lien mystique ; le lien qu’aucun homme ne peut mettre en mots, mais qui unit d’autant plus qu’il est intangible. Les cravates en soie sont les chaînes de la franc-maçonnerie ; cependant, aucun acier ne pouvait tenir aussi fermentement ni s’user aussi doucement. Dans le Lien Mystique, que j’ai le privilège de renouveler autant de fois que je le désir autour de l’Autel Sacré de ma Loge, je retrouve le parfum de la vie, les couleurs enchanteresses de l’amour de l’homme pour l’homme et le doux contact d’une main secourable. , ce qui n’est rien de plus fluide dans toute l’existence.

« La franc-maçonnerie m’a donné une éducation ; Je suis informé d’une plus grande récompense pour l’altruisme qui se déverse dans la poursuite de l’ego, qui me donne une plus grande récompense pour un bon travail, un vrai travail, un travail honnête effectué pour l’amour du travail et non pour l’amour du salaire. . Cela m’a donné l’occasion de connaître le mais élevé, la noble aspiration, le patriotisme, la lutte pour sortir de la boue du découragement, les yeux toujours fixés sur l’étoile ; Cela m’a donné de l’inspiration.

De nombreux frères peuvent parler de ce que la franc-maçonnerie a fait pour eux dans le monde pratique de tous les jours ; avenant du billet; du fonds donné; le voyage organisé ; des visites de patients ; des fleurs reçues; de proches réconfortés dans la douleur. Mais pour chaque homme qui avait une aide matérielle, mille avaient les dons spirituels de la franc-maçonnerie, et la majorité d’entre nous, Dieu merci, n’avons pas eu à demander ni à recevoir même la belle charité de la fraternité. C’est tout ce qu’il y a… et c’est ce qui arrive quand on pense que c’est un faux se lève maintenant à sa place et nie, s’il le peut, que la franc-maçonnerie lui ait profité de cette manière… il est juste et honnête qu’une réponse aussi vraie que cellule soit donnée à la question : « Qu’ai-je fait pour la franc-maçonnerie ?

Il y en aura qui se répondront : « J’ai servi avec moi officier. J’ai déjà confirmé mes diplômes. Je soutiens déjà la chaleur et le fardeau de la journée. Ce sont ceux-là qui ont eu la chance, car ils ont reçu et donné davantage. Mais la grande majorité d’entre nous ne peut pas réagir de cette manière, car il y a trop peu d’officiers par rapport au nombre de membres.

Alors, demandez encore, mon frère, vous qui n’avez Nunca exercé de fonctions officielles : « Qu’ai-je fait pour la franc-maçonnerie qui a tant fait pour moi ?

Non, mon frère, tu n’as pas besoin d’être gêné si le catalogue des services est court et restreint. Car il y aura toujours ceux qui ne seront que l’arrière-plan ; qui prend sans donner; qui reçoivent sans effort la générosité de leurs frères qui ont appris la grande leçon que donner, c’est recevoir ; que donner, c’est avoir un retour, oui, cent fois plus grand.

Cependant, de nombreux seront ceux qui entendront la question et y répondront eux-mêmes, et en auront honte ; et ils voudront savoir : « Que puis-je faire pour la franc-maçonnerie ? Je paierais ma dette; Moi aussi, je serais au rang de ceux qui donnent aussi bien que qui reçoivent.

L’ordre n’est pas une chose ; ce n’est pas une organisation, un système d’hommes et d’officiers ; des Magasins et Grandes Surfaces. L’organisation, le système, les hommes, les officiers, les Grandes Loges ne sont que le véhicule à travers lequel la Franc-maçonnerie s’exprime. Un homme peut être le seul habitant d’un pays solitaire, où il n’y a ni frère, ni loge, ni grande loge, ni cotisation, ni travail masonnique à accomplir, et pourtant porter la franc-maçonnerie dans son cœur. Et s’il y en avait deux dans ce pays solitaire, la franc-maçonnerie trouverait peut-être le moyen de s’exprimer. Parce que la Franc-Maçonnerie est la monnaie du cœur, et donc elle ne peut être payée qu’au cœur. Ce que vous pouvez faire pour la franc-maçonnerie est donc en grande partie ce que vous pouvez faire pour votre propre cœur et pour celui de votre frère.

Il est consensuel entre nous que celui qui sert la structure sert aussi l’esprit de la Franc-Maçonnerie ; que le frère qui travaille dans son Temple matériel, qui sert sa Loge, qui fait partie des comités, qui assure les divertissements, qui carrele, balaie, allume le feu et remplit les lampes sert vraiment et sert bien. Mais lorsque tout le travail physique est terminé, il reste encore beaucoup à faire ; et, quand tout le monde a fait le travail, il reste encore un projet sur le chevalet. Alors, mon frère, réponds avec ton cœur, et non avec tes muscles, ton portafeuille, ta voix ou le temps passé à fréquenter la Loge : « Qu’ai-je fait pour la Franc-Maçonnerie ?

Si toute la Franc-maçonnerie était dans le cœur de dix frères ; et quatre-vingt-onze pour cent étaient dans un cœur, et chacun des neuf autres n’en avait qu’un pour cent ; Les dix francs-maçons seraient-ils heureux, prospères et bien payés ? Ils ne le seraient pas. Mais à mesure que chacun des neuf approfondissait ses connaissances et sa pratique de la franc-maçonnerie, il en bénéficierait non seulement pour lui-même, mais aussi pour tous les autres. Et quand tous les dix sauraient tout et pratiqueraient tous les arts doux de la Franc-Maçonnerie, ces dix formeraient sûrement une Loge heureuse !

Cette petite illustration faite maison est destinée à faire comprendre à ceux qui l’écoutent avec les oreilles de leur esprit que la franc-maçonnerie est meilleure, car chacun d’entre nous qui la professe la pratique. Aucun homme ne peut devenir « lui-même » un meilleur maçon sans bénéficier à ses frères. Alors, à celui qui demande en toute humilité : « Je n’ai pas fait grand-chose, montre-moi comment je peux faire plus », la réponse est : « D’abord, en faisant de toi un meilleur franc-maçon » .

C’est « un meilleur franc-maçon » signifiant avant tout connaître quelque chose sur la franc-maçonnerie. Il y aura ceux qui entendront ce message et qui en savent beaucoup sur la franc-maçonnerie. Laissez-les répondre par eux-mêmes s’ils pensent en savoir assez ! Mais la grande majorité d’entre nous est heureuse de savoir qu’il existe une merveilleuse histoire à lire « One Day ». Qui serait vraiment capable de faire quelque chose pour la franc-maçonnerie s’il le faisait « maintenant ».

D’où vient la franc-maçonnerie ? Comment est-ce qu’on arrive avec beaucoup de fatigue ? Quelle a été votre histoire ? Quelles sont vos réalisations ? Qu’a-t-elle fait pour se justifier ? Qui sont-ils si ce sont des lois, si ce sont des préceptes anciens, si ce sont des repères ? Qu’a fait la franc-maçonnerie en créant notre gouvernement ? Qu’est-ce que la franc-maçonnerie a à voir avec les étoiles et les rayures et les étoiles blanches sur le bleu du ciel ? Qu’enseignent les symboles de la franc-maçonnerie ? Pourquoi avons-nous trois diplômes et comment sont-ils nés ? Comment la Parole at-elle été perdue, et ce qui est perdu sera-t-il un jour retrouvé ?

Répondez, vous qui demandez : « Que dos-je faire pour la Franc-Maçonnerie », et si vous ne pouvez pas, informez-vous afin que la Franc-Maçonnerie puisse avoir une autre recrue qui connaisseur un peu sa glorieuse histoire, son mais et ses mystères.

Mais il ne suffit pas de connaître la franc-maçonnerie. Quiconque veut réellement aider la franc-maçonnerie doit non seulement la connaître, mais aussi la « vivre ». Pose-toi encore une fois la question, mon frère, et réponds, même si toi seul peux l’entendre : « Qu’est-ce que je fais chaque jour qui soit maçonnique ? Comment utiliser ma franc-maçonnerie dans ma vie quotidienne ?

Car il ya l’Alpha et l’Omega, le début et la fin de la Franc-Maçonnerie ; la plus merveilleuse des philosophies, la plus divine des vérités, la plus sublime des conceptions, le plus érudit des enseignements qui sont aussi inefficaces qu’une pluie d’été pour éteindre un feu qui fait rage, « À moins qu’ils ne soient Vécu! »

Nous sommes tous humains et nous combattons donc tous les mêmes ennemis. Nous avons tous en nous quelque chose à maîtriser, ainsi que quelque chose qui soumet. En tant que francs-maçons, on nous apprend que nous sommes venus ici pour maîtriser nos passions et nous perfectionner dans la franc-maçonnerie ; Nous ne parvenons à la première chose que si nous défendants sissons à la seconde. « Passions », mon frère, ne signifie pas seulement colère ou convoitise. La passion de l’égoïsme, la passion de l’intérêt personnel, la passion de l’avarice, de la tromperie, du manque de bon voisinage, de la cruauté, de l’insouciance ; ceux-ci, ainsi que tous les autres ennemis contre lesquels l’esprit de l’homme lutte, doivent être soumis et vaincus ; plus facilement si nous mobilisons contre eux les rangs combattants des enseignements militants de la franc-maçonnerie. Ceci n’est pas destiné à être une prédication, mon frère ; Ceci n’est qu’une humble tentative de répondre à la question que vous devriez vous poser sur la manière dont vous pouvez aider l’Ordre. Vous pouvez l’aider en vous aidant vous-même ; aidez votre famille, aidez votre voisin et vos amis; et tout ce, vous pouvez le faire en faisant de la Franc-maçonnerie la règle et le guide de votre vie quotidienne, tout comme vous faites du Livre sur l’Autel la règle et le guide de votre foi et de votre vie.

Il ne suffit pas d’être honnête. L’honnêteté d’un franc-maçon n’est Nunca remise en question. Tout comme la lumière du soleil, c’est une évidence. Il ne suffit pas d’être juste. La justice est une conception de l’homme. La miséricorde est Dieu et la franc-maçonnerie l’enseigne. Il ne suffit pas d’avoir des amis. Un bon maçon est un meilleur ami qui s’occupe d’un homme. Car il est écrit : « Donnez, et il vous sera donné ».

Il y a une place pour la franc-maçonnerie dans chaque entreprise, dans chaque acte de chaque jour. Il y a de la place pour le sourire de la Franc-Maçonnerie dans chaque salutation et chaque baiser. Il y a une opportunité pour le cœur doux de la franc-maçonnerie dans chaque contact de la main avec un enfant, ou dans chaque parole offerte aux faibles et aux impuissants. Il y a une bénédiction de la franc-maçonnerie à donner aux malades et aux malheureux, et une bénédiction de la franc-maçonnerie à donner au pécheur et à l’errant.

La franc-maçonnerie est l’héritage le plus glorieux ; la plus sublime des conceptions du cœur… et ils demandent, ces frères, ce qu’ils peuvent faire pour cellule ! Ils peuvent le prendre dans leur âme ; ils peuvent le vivre dans leur vie, ils peuvent l’exprimer dans toutes leurs actions, et en faire non pas un cri de voix d’homme à la Divinité, mais un chant de leur cœur… à Dieu !

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A.S.: