En résonance avec le retour du printemps, synonyme de renaissance, Points de Vue Initiatiques décline, dans son numéro de mars 2025, une thématique qui ne va pas manquer de parler à tous :
« Je ne sais ni lire ni écrire »
Cette phrase que tous les initiés ont prononcé le jour de leur initiation augure un long chemin où les apprentissages de la lecture, l’écriture et la parole sont essentiels. Un engagement à se reconstruire, à s’améliorer, à apprendre à être et à donner du sens à leur vie.
Découvrez dans cette lettre d’information trimestrielle le numéro 215 que les abonnés viennent de recevoir. Et n’hésitez pas à la partager et à nous rejoindre sur les réseaux sociaux de PVI !
PVI n° 215 « Je ne sais ni lire ni écrire »Amour de la lecture, art de la planche, oralité et écrit, transmission et tradition, initiation et écriture… Ne manquez pas de découvrir le Points de Vue Initiatiques – mars 2025 intitulé « Je ne sais ni lire ni écrire ». Un numéro passionnant sur le long chemin de la connaissance par la lecture et l’écriture.- Tout commence par la lecture – Frank Subiela- Initiation et écriture – Guillaume Echel |
– Ce que l’écrit fait à la Tradition… – Lorenzo Soccavo- Écriture et civilisation – Christophe Calame- L’Art de la planche – Jean-Paul Chaussinand- « Donnez-moi la première lettre… » – Iskar Bufelan- Je sais lire et écrire – Lettre ouverte aux Apprentis qui seront un jour nos Maîtres auteurs de demain – Pierre Pelle Le Croisa- Apprendre à lire, apprendre à écrire, apprendre à être – Jean-Paul PotusVidéo PVI n°215 |
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« Je ne sais ni lire ni écrire », dernier numéro de Points de Vue Initiatiques, invite à interroger l’acte fondateur de l’écriture et de la lecture sous un prisme initiatique. À l’image d’un enfant découvrant l’alphabet, l’initié, dépouillé de ses repères, doit d’abord épeler avant d’accéder au sens profond des mots et des symboles.
Dans son éditorial, Olivier Balaine rappelle que lire et écrire, c’est inscrire sa quête dans une tradition vivante. Thierry Zaveroni, Grand Maître de la Grande Loge de France, souligne quant à lui que cette dépossession temporaire du savoir profane est une étape essentielle pour accéder à une connaissance plus organique.
Les contributions remarquables de ce numéro explorent avec finesse la dialectique entre oralité et écriture. Jean Mouttapa éclaire l’alchimie du livre comme espace de transmission et de dialogue, tandis que Lorenzo Soccavo met en garde contre le risque de figer la tradition dans l’écrit.
Roger Diogo, quant à lui, s’attache à la relation entre ces deux modes de transmission. La parole, qui précède l’écriture, fut longtemps le principal vecteur de savoirs. L’initiation, pour sa part, s’appuie sur la force du Verbe, qui donne vie aux enseignements.
Dense et vivifiant, ce numéro rappelle que la Franc-Maçonnerie est une véritable école du langage, où chaque degré affine la lecture du Verbe. Lire et écrire ne sont pas de simples outils de savoir, mais des actes fondateurs de l’initiation. Une exploration captivante de la puissance initiatique du langage !