« Peut-on être catholique et franc-maçon ? » voilà une question qui a souvent été débattu et qui a fait l’objet de nombreux articles.
Cette fois-ci, il s’agit du site « Famille Chrétienne » qui l’aborde au travers d’un article et d’un dossier spécial.
Mais en définitive nous ne sommes pas convaincu de leurs réponses ….
La franc-maçonnerie a toujours fasciné les esprits et suscité de nombreuses interrogations. Pour les catholiques, la question principale est de savoir si l’on peut-être à la fois « fils et filles de l’Église » et « Fils de la veuve ». Des textes du magistère et des ouvrages d’hommes d’Église ou d’anciens maçons répondent à cette question
L’Église a toujours été formelle : on ne peut pas être à la fois catholique et franc-maçon.
«S’agréger avec l’une, c’est divorcer d’avec l’autre », écrivait le pape Léon XIII à propos de l’Église et de la franc-maçonnerie (Lettre à l’épiscopat d’Italie, 8 décembre 1892). Qu’elle soit déiste ou athée, qu’elle fasse ou non preuve de bienveillance à l’égard de l’Église, elle est toujours condamnable, nous dit cette dernière.
Parce que derrière un philanthropisme de bon aloi et le masque de l’humanisme et de la tolérance se cache une doctrine qui prône le rejet de tout dogme et de toute vérité transcendante et immuable : « Pour nous, écrivait Pierre Simon, ancien grand maître de la Grande Loge, il n’existe pas de vérités éternelles, il n’y a que des traditions, constamment remises en question » (Le Monde, 1er juillet 1970).
Sommaire du dossier :
- Catholique et franc-maçon ?
- Prêtre et franc-maçon ?
- Aux pieds de Notre-Dame de Lourdes : la guérison d’un franc-maçon
- Les enseignements originaux des papes sur la franc-maçonnerie de 1717 à nos jours
- Dr Maurice Caillet : « J’étais franc-maçon, j’ai rencontré Jésus »