« J’étais compagnon, je suis devenu franc-maçon. Les bases sont les mêmes : le compagnonnage est opératif et la franc-maçonnerie spéculative. Le vrai franc-maçon, pour moi, pour un profane, c’est quand on voit quelqu’un et qu’on se dit : « Celui-là, il n’est pas
comme les autres . La franc-maçonnerie m’a permis de m’élever intellectuellement. «
Joël Robuchon – La Nouvelle République – 08/02/2014