La promesse solennelle faite par un franc-maçon lors de son admission dans n’importe quel degré est techniquement appelée son obligation. Au sens juridique, obligation est synonyme de devoir. Sa dérivation montre sa véritable signification, car le mot latin obligatio signifie littéralement un lien ou une liaison. L’obligation est ce qui oblige un homme à faire un acte dont l’accomplissement devient ainsi son devoir. Par son obligation, un franc-maçon est lié ou lié à son Ordre. C’est pourquoi les Romains appelaient le serment militaire que prêtait le soldat son obligation, et, aussi, on dit que c’est l’obligation qui fait le franc-maçon.
Avant cette cérémonie, il n’y a aucun lien qui lie le candidat à l’Ordre pour en faire partie ; après la cérémonie, la cravate est achevée, et le candidat devient immédiatement franc-maçon, jouissant de tous les droits et privilèges et soumis à tous les devoirs et responsabilités inhérents à ce caractère. Les juristes ont divisé les obligations en imparfaites et parfaites, ou naturelles et civiles. En franc-maçonnerie, cette distinction n’existe pas.
L’obligation maçonnique est cette obligation morale qui, bien qu’elle ne puisse être imposée par les tribunaux de droit, s’impose à celui qui la fait, en conscience et selon la justice morale. Cela varie dans chaque Degré, mais dans chacun est parfait. Ses diverses clauses, dans lesquelles différents devoirs sont prescrits, sont appelées ses points, qui sont soit affirmatifs, soit négatifs, une division comme celle des préceptes de la loi juive. Les points affirmatifs sont ceux qui exigent l’accomplissement de certains actes ; les points négatifs sont ceux qui interdisent certains autres actes à faire. L’ensemble d’entre eux est précédé d’un point général de secret, commun à tous les Degrés, et ce point s’appelle la cravate.
la source : Encyclopédie Mackey de la franc-maçonnerie
La première obligation est un peu aveugle l’initié promet d’obéir a une constitution et règlement général qu’il n’a pas lu…
Puis devenu C il reprète serment s’il a lu les documents remis à sa première réception c’est en conscience…
La pleinutde des droits est conférée à la maîtrise et là plus de doute…
Il y a nombres d’autres organismes qui ne laissent pas autant de lattitude à leurs adhérents.