Moi, franc-maçonne
de Rose Hébrard (Editeur – SAINT HONORE – 16 janvier 2020)
L’auteur raconte à la première personne, son enfance heureuse au milieu d’une famille attentive, soucieuse de morale en ce début du XXe siècle, ouverte au monde et à la liberté de penser maçonnique. Puis, jeune femme, elle aborde les souffrances de la vie. Sa personnalité prend corps petit à petit et s’épanouit lors de son entrée en Grande Loge Féminine de France.
Le récit continue alors à la troisième personne, ce qui le distancie obligatoirement des évènements et personnages réels. Pleine d’idéal, elle s’insère progressivement dans une société de femmes, où les peurs inconscientes et surtout les incompréhensions douloureuses, alternent avec de grands bonheurs spirituels et fraternels. Son âme s’élabore, devient exigeante, s’affine, la lance vers l’infini des philosophies anciennes, rejoignant les avancées éblouissantes des sciences modernes. Le passé reste l’ADN de son présent.
Et c’est une vieille dame de 93 ans, qui désire partager avec ses lecteurs, sa recherche incessante d’équilibre, dans un monde qui la bouscule sans cesse.
Biographie de l’auteur
» Rose HEBRARD est née il y a presque un siècle. Pour être actuellement épanouie, elle a dû sans arrêt se confronter aux pensées et vie du moment et tant bien que mal elle s’est adaptée. Très jeune Rose s’est trouvée seule, malade, sans amour, sans métier, sans avenir. Elle s’est battue pour obtenir le CAPES et un poste de professeur de lycée à Nice où elle a vécu 10 ans. Dans le Languedoc, près de son second mari elle a connu la franc-maçonnerie féminine : c’est son bâton de pèlerin, sa canne de vieillesse, son arbre de vie, l’essence d’elle même. On dit que la F.M. est une auberge espagnole » on y trouve ce qu’on y apporte » l’auteure y a trouvé le meilleur d’elle même. Et c’est ce besoin d’Absolu qu’elle voudrait transmettre. »