Entre 1934 et 1951, la Fédération universelle des ordres et sociétés initiatiques (FUDOSI), siégeant à Bruxelles, a réuni, plus ou moins durablement, une bonne dizaine d’organisations, dont beaucoup de sociétés rosicruciennes : la Rose-Croix universitaire, la Rose-Croix intérieure, la Rose-Croix suisse, l’AMORC, la Confrérie des frères illuminés de la Rose-Croix, l’Ordre des Samaritains inconnus, la Société alchimique de France, l’Ordre kabbalistique de la Rose-Croix, l’Ordre du Lys et de l’Aigle, la Fraternité polaire…
Les Sârs de la Rose-Croix
de Serge Caillet (Auteur), Robert Amadou (Préface) – Editions La Tarente – Novembre 2022 – 368 pages
En se basant sur de nombreux documents inédits, Serge Caillet retrace ici l’histoire de chacune de ces sociétés. Il entraîne ainsi son lecteur dans une série d’enquêtes qui éclairent leurs origines, avec le souci de distinguer la fable de l’histoire, sans se départir jamais d’une réflexion philosophique ou théosophique qui, par nature, les éclaire l’une et l’autre, parce qu’elle les transcende.
Chemin faisant, Serge Caillet dresse aussi le portrait des fondateurs et de certains des continuateurs de ces sociétés rosicruciennes, en analysant le rôle qu’ils ont pu jouer en leur sein et dans la FUDOSI qui les a, un temps, rassemblées.
Une abondante documentation iconographique inédite vient agrémenter cette histoire des Sârs de la Rose-Croix.
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En matière de Sar, il faut retenir le sar dîne à l'huile, découvert par le frère Pierre Dac, le sar danapale, célébré par Delacroix et, last but not the least, le sar Péladan dit le sar pédalant par ceux qui ne comprennent rien aux puissants mystères ésotériques.
Jack Chaboud