« Qu’ont en commun Léon Beyer en Alsace, Alphonse Mellot à Sancerre, ou encore Henri Duboscq du château Haut Marbuzet à Saint-Estèphe ? Ils appartiennent tous les trois à la franc-maçonnerie et ne s’en cachent pas. La curiosité à conduit La RVF sur les traces des vignerons francs-maçons, pour comprendre le lien qui a toujours uni le vin aux fameuses loges.«
Jean-Moïse Braitberg est originaire de la vallée de la Dordogne. Il écrit des guides de voyages et des articles sur le vin après avoir été journaliste d’investigation et grand reporter. Il aime les bonnes bouteilles et vénère ses chats.
Source : http://www.larvf.com/,les-francs-macons-et-le-vin,10337,1110191.asp
Cette belle enquête signée Jean-Moïse Braitberg balaye le sujet sous tous les angles : les origines de la franc-maçonnerie à Paris et dans le Bordelais, les principales loges implantées dans le vignoble girondin, les personnalités du vin et de la gastronomie qui admettent leur appartenance, mais aussi des anecdotes vivantes comme cette fameuse « soirée fraternelle des Amis du vin de la Grande Bourgogne » organisée dans un grand restaurant de Dijon, qui n’était autre qu’un rendez-vous festif entre francs-maçons bourguignons professionnels du vin.
On y apprend aussi qu’en dépit des mythes et clichés qui ont toujours collé à la peau de cette société secrète, la franc-maçonnerie est aussi un réseau où l’entraide et la solidarité sont des vertus reines.
Enfin, les témoignages de vignerons francs-maçons : certains en anonyme, comme le propriétaire d’un cru bourgeois du Médoc, d’autres à visage découvert, comme l’Alsacien Marc Kreydenweiss ou le Saint-Emilionnais Alain Querre.
Vous retrouverez l’intégralité du dossier dans La RVF de novembre (n° 536).