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LES ÉNIGMES DE L’HISTOIRE DE FRANCE


Sur plus de vingt siècles de notre passé national, vingt récits, par les meilleurs spécialistes, dévoilant ou expliquant des épisodes souvent évoqués et pourtant demeurés mystérieux.

Les énigmes de l’histoire de France

de COLLECTIF (Auteur), Jean-Christian PETITFILS (Réalisateur)

Le 27 septembre 52 avant notre ère, tout était réuni pour que Vercingétorix l’emporte à Alésia sur les légions de César ; or, c’est tout l’inverse qui se produisit. Comment expliquer ce désastre où se joua le destin de la Gaule ? Le 29 mai 1968, le général de Gaulle disparaît ; face au mouvement social, eut-il la tentation de se retirer, et qu’est-il allé dire et faire à Baden-Baden ? Le secret de ces heures capitales n’est pas entièrement élucidé. La grande histoire est faite aussi de ces incidents, hasards et affaires qui ont défrayé la chronique et conservé leur part de mystère tout en influant sur les destinées du pays : épopée de Jeanne d’Arc, Masque de fer, survivance de Louis XVII, exécution du duc d’Enghien, complot de la Cagoule, bien d’autres circonstances tout aussi romanesques et le plus souvent tragiques ont contribué à façonner la mémoire et la légende nationales, et continuent d’intriguer ou de faire rêver.

Sur ces vingt épisodes, voici enfin ce qu’il est possible de savoir et de comprendre. Une autre manière d’écrire l’histoire de France.

Biographie de l’auteur

Historien et écrivain réputé, Jean-Christian Petitfils a notamment publié les biographies de Louis XIII, Louis XIV, Louis XV et Louis XVI, qui ont été de grands succès. Salués par la critique, ses ouvrages ont été couronnés par plusieurs prix littéraires.


A.S.:

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  • À ceux qui ne le savent pas :
    L'histoire de France ne sera, à ses débuts, qu'une lutte entre les Francs-Saliens et les Francs-Ripuaires, c'est-à-dire entre les masculinistes et les féministes. Ces derniers devaient faire cause commune avec les Celtes Gaulois restés fidèles aux anciennes traditions.
    Les historiens nous ont caché la part prise dans cette lutte par les féministes et n'ont enregistré que les succès des masculinistes.
    C'est à nous à rétablir la vérité en cherchant le rôle caché de la femme dans cette histoire lointaine.
    Nous voyons, tout d'abord, qu'on mentionne comme premier Roi de France un nom sur lequel on ne nous dit rien, on ne sait rien. On va même jusqu'à mettre en doute son existence.
    Or, étant donné ce que nous avons dit plus haut du Roi des Rois chez les Francs, il est bien certain que Pharamond est le terme générique sous lequel on désigne ces Rois suprêmes. C'est du reste le nom d'une Fée, qui joua un grand rôle, la Fée Faramonde.
    En cherchant l'origine des langues égyptienne et hébraïque, nous y avons trouvé des origines, des racines celtiques, et d'abord le mot Reine Faée. Ce mot, devenu pharaï (parler), désignait l'inspirée qui parle. Ce terme rapproche singulièrement les Déesses du Nord des Pharaons de l'ancienne Egypte, qui étaient aussi des Puissances morales et sacerdotales exercées par des femmes.
    Les mots Pharao Pharaonis, resteront dans la langue grecque, mais qui les rapprochera de l'ancienne Fata ? Qui saura que le nom de Phasias, donné à Médée, en vient aussi ?
    Les Phara-mund, comme les Phara-on étaient donc les grandes Cheffesses du Gouvernement théocratique, et ce qui le prouve, c'est qu'entre la Meuse et le Rhin se trouvait leur centre appelé Mèdiomatrice. C'est de là que partit la civilisation celtique. Ce centre était près de la ville de Divodurum (aujourd'hui Metz), à l'orée de la forêt des Ardennes, à laquelle la Déesse Arduina donna son nom.
    Nous verrons bientôt les Pères de l'Église, qui copiaient tout, se faire appeler Patrices pour imiter le centre féminin, la Matrice, comme nous verrons les rois prendre l'appellation de la grande déesse Cybèle (Mater Magna) et se faire aussi appeler Magne (Charlemagne).
    Le roi Pharamond, que l'on fait monter sur le trône de France en 420 (quoique son existence soit niée), serait mort en 428.
    Dans ce règne, qui serait venu remplacer la domination romaine qui finissait, nous voyons l'indication déguisée d'une restauration du pouvoir féminin quelque temps éclipsé, mais venant reprendre ses droits, en même temps que l'influence de la doctrine johannite rendait à la femme la place qu'elle avait occupée dans l'ancien gouvernement celtique.
    Lien : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/2017/07/celtes-et-latins.html