Dans l’émission du dimanche 21 mars 2021 de Sept à huit, présenté par Harry Roselmack, l’affaire dite « des barbouzes francs-maçons » a fait l’objet d’un reportage digne d’un polar !
Comment des membres d’une loge maçonnique auraient-ils utilisé des agents secrets pour exécuter des contrats qui n’ont rien à voir avec la sécurité nationale ?
Crimes sur commande : des tueurs à gage à la DGSE ?
C’est un réseau criminel peu ordinaire qui vient d’être démantelé. Les victimes, un conseiller municipal, un pilote d’automobile ou encore une cheffe d’entreprise, ont été la cible de barbouzes ou d’hommes de la DGSE. Intimidations musclées ou meurtres, ils facturaient leurs contrats jusqu’à 50 000 euros. Dans un lieu qu’elle ne souhaite pas révéler, Marie-Hélène Dini, 54 ans, se remet d’un long cauchemar. Cette directrice d’école de coaching en entreprise a échappé de peu à la mort. Comme dans un mauvais roman noir, elle aurait été la cible d’un contrat. Au fil de son enquête, la brigade criminelle a mis au jour un réseau inédit en France, mélangeant services secrets, barbouzes, et francs-maçons. Une équipe spécialisée dans les intimidations musclées qui seraient allées jusqu’au meurtre. Une officine de coup tordu au service d’amis, connaissances, relations professionnelles auraient commis au moins une dizaine d’actions depuis 2016 dans l’Hexagone. Parmi elles, le tabassage d’un homme politique, l’incendie de la voiture et de la maison d’une femme en conflit avec son patron ou encore dans l’Ain, le projet d’assassinat d’un syndicaliste