X
    Categories: Livres

LE SUAIRE DE TURIN : TÉMOIN DE LA PASSION DE JÉSUS-CHRIST


Le Saint Suaire de Turin est ce linceul conservé dans la cathédrale Saint-Jean-Baptiste qui présente la double empreinte ventrale et dorsale d’un crucifié mort, flagellé et torturé, avec tous les signes de la Passion (traces du coup de lance et de la couronne d’épines…). 

Le Saint Suaire de Turin : Témoin de la Passion de Jésus-Christ

de (Jean-Christian Petitfils Editions Tallandier – Août 2022 – 464 pages)

A-t-il vraiment été le témoin de l’ensevelissement de Jésus le Nazaréen à Jérusalem le 3 avril de l’an 33 ?
Il existe un décalage abyssal entre ce que répètent des personnes mal informées, qui s’obstinent à soutenir des thèses dépassées, comme la malencontreuse analyse au carbone 14 de 1988, faussée par plusieurs pollutions et assignant de façon erronée à cette célèbre toile de lin une datation médiévale, et les dernières expérimentations scientifiques, toutes convergentes, allant en sens contraire.

ans cette synthèse complète, loin de tout esprit polémique, Jean-Christian Petitfils montre, de façon claire et convaincante, qu’il n’y a plus aucun doute aujourd’hui : le Saint Suaire de Turin est bien authentique. Non seulement les renseignements qu’il fournit sur la Passion du Christ sont exceptionnels, mais les caractéristiques uniques et déroutantes de l’image, que l’on n’a jamais pu reproduire à l’identique malgré toutes les techniques modernes – inversion des couleurs, tridimensionnalité, projection orthogonale sans effet latéral, absence de la moindre trace de décomposition du corps ni d’arrachement des caillots de sang –, semblent nous introduire à un autre mystère…

Jean-Christian Petitfils, historien et écrivain, auteur de plus d’une trentaine d’ouvrages, notamment Jésus et le Dictionnaire amoureux de Jésus – qui ont rencontré tous deux un vif succès –, suit depuis de très nombreuses années les travaux français, italiens et américains sur cette prodigieuse relique

A.S.:

View Comments (1)

  • Plusieurs laboratoires indépendants ont analysé les fibres du tissu de ce saint suaire et ont conclu qu’il date du moyen âge.
    Des italiens peuvent bien contester ces expertises, il n’en reste pas moins que le saint siège ne prend plus position mais reste dans le silence.