Le silence maçonnique revêt diverses formes : le silence de l’apprenti, le silence en accord avec notre serment…
Le silence trouble, émeut, nous libère de nos passions…Lors de mes périnigrations sur le Web j’ai découvert une très belle planche d’une dénommée Simone PUTZEYS, parue dans l’éditorial Reliure d’Automne-Hiver 2007, sur le thème du Silence Maçonnique.
Ce texte m’a séduit car il retrace de façon « historique » le silence maçonnique et nous plonge au plus profond de nous-même…On se retrouve tous dans ces mots me semble-t-il ?
Extrait :
La Franc-Maçonnerie est une chaîne solide et fraternelle de frères et de sœurs soudés par des règles de vie, des préceptes rigoureux, un respect mutuel qui peuvent être trahis par une mauvaise compréhension ou interprétation
amenant des questionnements, des conclusions hâtifs parfois peu en symbiose avec les valeurs réelles. Au Moyen Age, la loge, du latin « lieu », était l’endroit fermé et secret où se réunissaient, sous le signe du silence, les maîtres d’une même corporation : charpentiers, tailleurs de pierre, couvreurs, maçons, pour établir ensemble le rituel des réunions, des cérémonies, le règlement, les devoirs et les droits de chacun ainsi que l’étude du « trait » (notamment ce que l’on enseignait aux apprentis). Le silence à bien des égards est une parcelle importante de vie.
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