Il y est traité de son « goût » pour la Franc-Maçonnerie et de l’nfluence de celle-ci sur son parcours.
Extrait :
« Mais, en 1781, Frédéric-Guillaume, qui était attiré par le mysticisme, avait rejoint les francs-maçons et était tombé sous l’influence de l’un d’eux, Johann Christoph von Wöllner (1732-1800), qui lui dictait sa politique. Ce dernier, intrigant, avait commencé sa carrière comme précepteur dans une famille prusse noble. »
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