Un roman ésotérique qui fait la part belle aux mathématiques où le chiffre Pi serait la clé de l’univers…avec Archimède, l’inventeur du fameux 3,14….Un roman passionnant très bien construit !
Et pour ceux qui s’interroge sur le palimpseste (du grec ancien παλίμψηστος / palímpsêstos, « gratté de nouveau ») c’est un manuscrit écrit sur un parchemin préalablement utilisé, et dont on a fait disparaître les inscriptions pour y écrire de nouveau. Cette méthode fut utilisée au Moyen Âge, surtout entre le viie siècle et le xiie siècle, par des copistes qui, le parchemin coûtant cher, réutilisaient d’anciens manuscrits pour y copier de nouveaux textes. Pour cela, les vieux manuscrits étaient préalablement désencrés ou effacés grâce à de la pierre ponce.
TITRE : Le palimpseste d’Archimède
RESUME : Joachim, élève de Normale Sup’, est l’étudiant préféré d’Elsa Maarek, belle et charismatique professeur de philo, passionnée par l’Antiquité. Ce qui les amène à être invités par la police à enquêter discrètement sur une série de meurtres atroces perpétrés dans le personnel enseignant de la rue d’Ulm. Tous les crimes portent le signe du chiffre Pi et répondent à un rituel bien connu d’Elsa, qui a fait sa thèse sur les sacrifices de la mystérieuse religion d’Eleusis.
Après l’assassinat du premier professeur, sa veuve vend à un riche acquéreur resté anonyme, un ancien codex identifié comme un palimpseste. Et si, comme en court la rumeur, ce manuscrit était bien un écrit d’Archimède dans lequel il donne la solution de Pi, donc la solution au mystère de la création et du monde ? Et dans ce cas, qui tue qui et pourquoi ?
Un formidable thriller historique et ésotérique où se mêlent Facebook et le nombre Pi, Archimède et les Jésuites, les souterrains d’un monastère de Judée et le siège de Syracuse. Un grand roman dans la lignée de Qumran.