Certains considèrent que le biscuit mondialement connu aurait une référence maçonnique…
Il y a des infos comme ça amusante et insolite : le fameux biscuit Oreo, composé d’une garniture blanche dite « crème » (sans lait), coincée entre deux biscuits ronds au chocolat fête cette année son centenaire (491 000 000 000 d’unités vendus à ce jour) et les explications des motifs et symboles figurant sur ce biscuit alimentent les propos et les suggestions de tout ordre, et la franc-maçonnerie y serait représentée :
« Le motif géométrique des biscuits Oreo, un point avec quatre triangles rayonnant vers l’extérieur, serait quant à lui le dessin schématique d’un trèfle à quatre feuilles ou la Croix pattée, associée aux chevaliers Teutoniques, ainsi qu’à l’armée allemande (Croix de fer) et aux francs-maçons d’aujourd’hui.«
C’est un ingénieur de conception de Nabisco du nom de William Turnier qui aurait créé les motifs du biscuit…
Certains considèrent que le biscuit mondialement connu aurait une référence maçonnique…
En 1986, pour célébrer le 75ème anniversaire du cookie lancé par Nabisco en 1912, Paul Goldberger, célèbre critique d’architecture, déclara que les Oreo « seraient conçus comme le seraient des bâtiments, et parfois même mieux ». Cependant, même si le motif en relief est presque devenu une icône de nos jours, l’identité de son concepteur reste trouble. Selon certains, c’est un ingénieur de conception de Nabisco du nom de William Turnier qui l’aurait créé. Beaucoup de personnes ont en effet cherché à « décoder » le design des biscuits en spéculant sur l’identité de son concepteur. Le cercle surmonté d’une croix à deux barres dans lequel le mot « OREO » apparaît est une variante du logo de Nabisco
– La fabrication des Oreo en vidéo
Si Oreo, le biscuit plus vendu au monde, qui a fêté son centenaire en 2012, reste une icône, presque une religion pour ses adeptes, il relève toujours d’un rituel, parfaitement intériorisé.
Selon Kraft, la moitié des consommateurs suivent le cérémonial de la publicité : « Twist, lick, dunk », c’est-à-dire « tourne, lèche, trempe ». Le rite est celui-ci : il faut tourner les deux biscuits pour les décoller, lécher la crème à la vanille et tremper les biscuits dans un verre de lait. Ce rite se transmet, notamment de fille en père, comme dans cette publicité diffusée en France en 2011.
Puisqu’il est question de symbolique maçonnico-gastronomique, pourquoi ne pas aborder celle du très célèbre Petit Beurre. Un produit bien de chez nous.
Et qui fête, lui, cette année, ses 170 ans…
L’aventure du Petit Beurre a commencé rue Boileau, à Nantes, dans une pâtisserie fondée en 1846 par Jean-Romain Lefèvre et Pauline-Isabelle Utile. De leurs noms naîtra l’enseigne Lefèvre-Utile (écourtée plus tard aux deux lettres Lu). La pâtisserie connaît une grande popularité auprès des nantais. Mais en 1882, un bouleversement de taille s’amorce. Louis Lefèvre-Utile, le benjamin de la famille, reprend l’affaire familiale. Il est le père du Véritable Petit Beurre, en 1886. Il élabore un biscuit à base de farine, de beurre, de sucre et de lait. Il lui dessine une forme rectangulaire aux bords découpés et aux quatre coins saillants. La légende dira qu’il s’est inspiré des napperons en dentelle de sa grand-mère. Le Véritable Petit Beurre était né.
Le but de Louis Lefèvre-Utile est de créer un gâteau qui puisse être mangé tous les jours. D’où son idée originale de représenter le « temps » (sujet hautement maçonnique) :
– Les 52 dents représentent les semaines de l’année.
– Les 4 coins représentent les saisons.
– Ce biscuit mesure 7 cm, représentant les 7 jours de la semaine.
– Les 24 petits points représentent les 24 heures de la journée.
Pour la forme et le lettrage, il s’est inspiré d’un napperon de sa grand-mère.
La recette a bien fonctionné puisque, 6 400 tonnes de véritables Petits Beurres LU se vendent chaque année.
Lu intègrera, en 1986, la multinationale Boussois-Souchon-Neuvesel, plus connue par son acronyme « BSN », devenue aujourd’hui Danone, entreprise française, leader mondial des produits laitiers frais.
Et dans la photo du haut, sous l’ovale où est écrit « Oreo », on peut voir un compas et une équerre !
Voici ce qui est dit sur le site (http://fr.oreo.eu/la-gamme) :
« L’OREO EN SACHETS INDIVIDUELS: LES PAUSES ONT LEUR RITUEL !
Parce que nous avons tous des vies bien remplies, OREO met à disposition des sachets individuels. Les enfants peuvent l’emporter avec eux à l’école, au sport… accompagné d’un produit laitier et d’un fruit. C’est aussi un format très pratique pour les pauses des plus grands (au bureau, le week end…). Le paquet de 176g comprend 4 sachets de 4 biscuits. »
Vous avez dit « 4 sachets de 4 biscuits », comme la règle de 24 pouces !!!
Gardons à l’esprit que la règle de 24 pouces se subdivise en 4 x 6 heures, soit 24 heures qui s’articulaient ainsi : 6 h pour travailler, 6 h pour servir Dieu, 6 h pour servir un ami ou un frère, sans que cela soit à notre détriment ou celui de notre famille, et 6 h pour dormir.
Le symbolatre a sûrement raison, OREO est d’inspiration maçonnique…
De plus le paquet pèse 176 grammes !!!
176 = 1 + 7 + 6 = 14 = 1 + 4 = 5
5, alors là, je n’ose aborder la symbolique du nombre 5 (le chiffre est mathématique, mais le nombre est connaissance, disait mon Maître…).
– 5 comme l’Ether, ou 5ème élément…
– 5, Nombre Premier, est aussi appelé sphérique, parce qu’il possède la particularité suivante : quel que soit le nombre de fois que l’on multiplie 5 par 5, la désinence du produit est toujours égale à 5. Il ne peut être représenté ni par un triangle, ni par un carré, mais bien par une étoile !!!
– 5 est la division normale du cadran de nos montres et sert à la mesure du temps qu’il divise en 12 heures, en 60 minutes et même en quarts : 15, 30, 45.
– 5, comme les 5 sens, etc.,
J’arrête là ; la symbolatrerie va, sans aucun doute, aussi nous gagner, je capitule donc.
Oui, OREO est sûrement un gâteau franc-maçonnique…