Mardi 18 juillet, de 9 heures à 12 heures, à la Maison de la presse Patrick Burensteinas dédicacera son dernier ouvrage « La bibliothèque perdue – Le rêve de César », paru aux éditions Robert Lafond. Patrick Burensteinas (alchimiste, auteur, conférencier, créateur d’esprit d’entreprise) a toujours souhaité comprendre le monde. C’est ce qui l’a conduit il y a plus de trente ans à l’alchimie, pensant qu’il s’agissait d’une fantasmagorie moyenâgeuse. Mais face à des phénomènes inexplicables, il persévéra dans ses travaux jusqu’à réaliser « La Pierre philosophale ».
Depuis de nombreuses années, il transmet ses découvertes aux cherchants qu’il guide sur cette voie de connaissance ancestrale et universelle. « L’Alchimie est pour moi un moyen pour l’homme de retrouver sa place, de renouer le dialogue avec la nature et avec lui-même, non pas dans une vision magico-lyrique, mais dans un monde bien réel, analyse Patrick Burensteinas. Notre vision ne s’arrête pas à notre savoir, elle nous pousse vers la connaissance. »
« Chartres cathédrale alchimique et maçonnique-2012« , « Le mont Saint-Michel le voyage – 2014« , « Un alchimiste raconte – 2017« , sont quelques-uns de ses nombreux ouvrages. En plus de l’écriture, il met aujourd’hui son talent au service des entreprises. « La bibliothèque perdue – Le rêve de César », le premier tome d’une série de quatre, est son premier roman. En 47 av. J-C, César s’empare de la bibliothèque d’Alexandrie et demande à une équipe de mettre en lieu sûr quelque 700 000 ouvrages. Deux mille ans plus tard, une jeune femme décide de résoudre une énigme qui la mènera peut-être sur les traces de cette bibliothèque d’Alexandrie. Au cours de cette aventure inédite et secrète, l’alchimie, la magie et la science se mêlent.
Quand on demande à l’auteur pourquoi avoir choisi Gramat pour une séance de dédicace, il répond : « Petit Parisien, on m’envoyait depuis mes 7 ans passer un mois d’été à la ferme dans un petit village près de Souillac, confie-t-il. Grâce au patriarche de la famille qui m’accueillait, j’ai eu le bonheur de connaître la liberté et je garde de ces années les souvenirs de bonheurs simples et authentiques. J’adore la région et Rocamadour, où je viens écrire et me ressourcer dès que possible. »