« La Revue Media » dont le directeur de rédaction est Robert Ménard a également consacré certaines de ces unes au sujet de la franc-maçonnerie …
En voici un récapitulatif sommaire mais disponible sur le site de l’éditorial…
- Où se cachent les journalistes francs-maçons ? par Emmanuelle Duverger et Robert Ménard : Deux des meilleurs connaisseurs de la franc-maçonnerie, Sophie Coignard du Point et François Koch de L’Express, brisent ici un tabou en parlant de l’emprise des frères sur les médias. Pas une seule rédaction qui ne compte son lot de francs-maçons, parfois au sommet de la hiérarchie. Bien placés pour promouvoir un frère, bloquer un papier, passer son silence une affaire gênante…Révélations.
- Pour en finir avec les marronniers… 6- Le secret, une illusion médiatique par Marcel Bolle De Bal, Sociologue, Professeur émérite, Université Libre de Bruxelles : Médias et Franc-maçonnerie, franc-maçonnerie et médias : quelles troubles relations 1 entre ces deux entités non exemptes de contradictions internes ! Les médias, parfois en panne de sujets croustillants, puisent de façon récurrente dans le réservoir, aux profondeurs abyssales, des Temples maçonniques ; les franc-maçonneries — du moins certaines de leurs loges et obédiences — rêvent de faire connaître et reconnaître leurs valeurs ainsi que leurs actions humanistes au grand public, par la voie alléchante des médias alléchés.
- Pour en finir avec les marronniers… 1- Franc-Maçonnerie et médias, un nouvel enjeu ? par Céline Bryon-Portet, Maître de conférences habilitée à diriger des recherches, Université de Toulouse
- Pour en finir avec les marronniers… 2- L’histoire d’un fantasme… Entretien avec > Michel Maffesoli, sociologue réalisé Par > Céline Bryon-Portet : Le fantasme ayant trait à la franc-maçonnerie est-il à l’origine du secret qui l’entoure ? Eléments de réponse avec Michel Maffesoli.
- Pour en finir avec les marronniers… 3- Une image déformée ? par Roger DACHEZ médecin, universitaire, spécialiste de la franc-maçonnerie : Issue, au cours du XVIIe siècle, par des voies encore discutées, d’organisations professionnelles qui cultivaient dans un relatif secret — du moins en Écosse — des rituels identitaires 1, la franc-maçonnerie, devenue purement « spéculative 2 » et bientôt philosophique, est parvenue sous les feux de l’actualité publique dans les premières décennies du xviiie siècle, en Angleterre puis en France notamment. Or cette apparition fut chaque fois le fait d’une divulgation où les médias de l’époque — journaux et « nouvelles à la main » — jouèrent un rôle central.