Nouvelles lumières sur les origines de la Franc-maçonnerie écossaise
LA REVELATION DU 3° TEMPLE
Par Johan Dreue (Les Grands Lointains édition – juin 2016 – 175 pages)
Et si ? .. et s’il fallait tout revoir ? En effet la Franc-maçonnerie est de part en part écossaise mais pourquoi a t’elle vue le jour dans ces lointaines terres qui semblaient loin des grands carrefours de la civilisation ? De l’île sacrée d’Iona – haut lieu du monachisme celtique – jusqu’au port d’Aberdeen, et sur cet axe crucial allant d’un bord à l’autre des côtes de l’Ecosse s’est cristallisé un projet adossé à un mouvement spirituel d’une ampleur insoupçonnée, il fait suite à une conjonction de plusieurs facteurs que nous avons entrepris d’expliquer afin d’en démêler l’écheveau. On peut néanmoins citer les acteurs principaux : 1- la diaspora juive qui fut plus important que ce que les manuels nous en disent, elle arriva avec Guillaume le Conquérant fort de son message messianique, 2- puis les templiers qui dès leur arrivée remirent leurs épées au service de l’indépendance écossaise, 3- les calvinistes qui virent dans l’Ecosse la possibilité d’un nouvel Israël avant l’heure et enfin 4- l’Eglise Celtique au carrefour d’une tradition hyperboréenne et gardienne du dépôt sacré et antédiluvien du Noachisme. Pour faire lever cette pâte et comme levain il faut enfin mentionner la connexion avec le milieu talmudique du sud de la France, représenté par le roi juif de Narbonne, Machar qui fut vénéré à Aberdeen.
De là on peut inférer qu’il est incontestable qu’Aberdeen ait servi de centre de culte et de culture juive pendant la période 1100-1750, en d’autres termes, de l’époque normande à l’époque géorgienne, avant de passer le relais aux calvinistes comme le théologien John Knox débarquant de l’Europe. Toutes ces diasporas comprenant de nombreux intellectuels vont contribuer à l’essor et la renommée de la ville. En 1200, Aberdeen devient la troisième ville la plus riche d’Écosse, malgré sa situation au nord, et son isolement relatif par rapport au reste de l’Écosse, et une plaque tournante commerçant avec le reste de l’Europe du Nord… Il lui fallait un rayonnement mondial à la hauteur de sa richesse culturelle et de ses espoirs et ce sera la matrice de plusieurs courants tant hermétistes qu’alchimiques et initiatiques comme le sera la proto-maçonnerie du XIVème et XVème siècle dont les rituels fourniront l’essentiel de la substantifique moelle de la future « Franc-maçonnerie » avec comme objectif la restauration du 3ème Temple. Objectif perdu de vue en cours de route et qu’il convient de rétablir.
View Comments (2)
L'étude de la proto-maçonnerie est essentielle pour comprendre une grande partie des racines du monde actuel.
Le nombre trois travaille à la plus grande universalité.
Illusion , les juifs en Ecosse sont trés peux nombreux et encore moins dans des instances publics voir obeidianciels, ils sont pas aimés voir affaires Maxwell et d'autres plus anciennes .
Hors ce sont des opératifs et trés peu spéculatifs, tous les rituels sont appris par coeur et le reaa est peu présentc'est emulation, la marque etc .....
la disertation n'est pas leurs tasses de thé
vous connaissez le mur d'Adrien et pourquoi!!!!!!!!
C'est une récupération de la part d'une diaspora !!!!!!!!!!!!!