Une hypothèse révolutionnairequi pourrait remettre en cause notre vision du monde
L’univers semble avoir une mémoire, portée par ses formes
Par quelle coïncidence l’œil du poulpe ressemble-t-il au nôtre alors que nos généalogies n’ont rien en commun ? Pourquoi notre visage reste-t-il le même tandis que ses cellules se renouvellent sans cesse ? Et pourquoi un gland ne peut-il pas donner un palmier ?
La mémoire de l’univers – Une hypothèse révolutionnaire qui pourrait remettre en cause notre vision du monde
de Rupert Sheldrake (Auteur), Patrice Van Eersel (Préface) ( Les éditions Trédaniel – 17 mars 2022 – 644 pages)
Dans tous les cas, la science répondra : grâce aux gènes. D’accord, mais en quoi ces derniers sont-ils eux-mêmes les » architectes » des plans qu’ils contiennent ?
Curieusement, physiciens et biologistes ont tendance à négliger la genèse des formes auto-organisées, qu’elles soient vivantes ou minérales, ou encore psychiques ou sociologiques.
Rupert Sheldrake est sans conteste le biologiste le plus original de notre temps. Dans cet ouvrage avant-gardiste, il propose une explication commune à ces différentes énigmes : une dimension entière du réel échapperait à la science, une » force sans énergie » qu’il nomme résonance morphique. Une hypothèse révolutionnaire qui pourrait remettre en cause toute notre vision du monde.
La voici exposée dans cet ouvrage entièrement revu à la lumière des dernières découvertes scientifiques, notamment en matière d’épigénétique, enrichi par un entretien avec David Bohm, éminent physicien quantique.