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LA LÉGENDE


La légende est une histoire romantique. Normalement, à partir d’un fait historique ou d’une référence à un personnage qui existe réellement, sur la construction d’une histoire plus riche, plus détaillée, plus intéressante, qui embellit et enrichit le fait sur lequel elle se fonde ou qui se rencontre dans value ou qualifie particulièrement le personnage qu’elle porte. fait référence.

Dans la légende, nous partons de la réalité et les dépassons. Vous partez de ce qui était et arrivez à ce que vous auriez aimé être. On passe du réel au surréaliste (plus que le réel ; au-delà du réel). La légende est toujours plus intéressante, plus belle, plus attractive à notre imagination et dans les affections que la réalité. La légende vaut mieux que la réalité. Ce n’est pas à ce moment-là que la cellule se justifie. C’est la seule fazn pour cellule d’exister. C’est la seule fazn dont la cellule persiste.

La légende est le meilleur hommage que l’esprit humain peut rendre à la réalité. Un personnage précieux, insolite et marquant peut devenir un personnage légendaire. Un événement, peut-être banal, peut-être trivial, mais qui impressionne l’intellect, émeut l’esprit, éveille l’imaginaire, peut, avec le temps, prendre une dimension légendaire.

Même si la légende dépasse la réalité, elle n’est pas meilleure que la réalité, plus belle, plus attrayante, plus mémorable, la légende dure plus facilement que la réalité. Et cellule représente le mieux les distingués les plus nobles de l’homme. Toutes les organisations humaines de la plus grande importance prennent tôt ou tard une dimension légendaire, tantôt coexistant avec la réalité, tantôt se l’appropriant et la remplaçant. La franc-maçonnerie a aussi sa dimension légendaire, avec une pertinence particulière et une importance particulière dans son idéologie.

La franc-maçonnerie spéculative moderne fonde son symbolisme fondamental sur la  légende d’Hiram . Je ne le révélerai pas ici, même s’il a été abondamment publié. La  Légende d’Hiram  trouve son origine dans l’épisode de la construction du Temple de Salomon, rapporté dans la Bible, dans le  Livre des Rois  et également référencé dans les  Chroniques. Venez découvrir l’intéressante histoire d’  Ethiel Omar Cartes González , maçon français de la Loge Guatimozín 66, de la Grande Loge maçonnique de l’État de São Paulo (Brésil), publiée dans le célèbre  Pietre-Stones, Revue de la Franc-maçonnerie dans la Bible Hiram est mentionné avec moi Hiram de Tyr, (Rois 7, 13) ou Huram Abihu étant Huram, mon père, (Chroniques 2,13) ​​​​fils d’une veuve, fille de Dan et qui, en plus d’être un sage d’une grande intelligence, savait comment travailler tous les materials. Mais la Bible ne crédite pas Hiram Abif comme directeur des travaux de construction du Temple, mais plutôt comme un artisan chargé de créer des œuvres d’art qui suscite l’admiration des visiteurs.  (Au passage : cette référence biblique est à l’origine de l’expression  fils de veuve  avec laquelle se désignent les francs-maçons.)

La  Légende d’Hiram , pilier des enseignements transmis dans l’un des degrés de la Franc-Maçonnerie Bleue et prétexte à des développements dans plusieurs des Hauts Degrés, qu’il s’agisse du Rite d’York ou du Rite Écossais Ancien et Accepté, est sans aucun doute une pièce centrale de l’Idéologie maçonnique. Bien que chacun reconnaissance sa nature de légende, c’est un prétexte et un instrument pour extraire et travailler de nombreux symboles fondamentaux de la Franc-Maçonnerie, de nombreux enseignements à obtenir et à développer. Un franc-maçon, une fois que la  légende d’Hiram lui à été transmise,  peut – et doit ! – prendre de nombreuses années pour l’étudier, l’analyser, comprendre la signification des symboles qu’il montre ou suggère, et en tirer de grands bénéfices personnels, moraux et spirituels. La franc-maçonnerie n’est pas juste – loin de là ! – la  Légende d’Hiram . Mais la  légende d’Hiram , et les enseignements qu’elle permet et fournit, sont très, très présents dans la franc-maçonnerie.

Concernant la légende : la Loge Mestre Affonso Domingues aussi une légende comme pierre angulaire de son existence : la légende de la  Voûte , incluse par le grand Alexandre Herculano dans ses  Légendes et Récits , dans laquelle l’écrivain nous présente le personnage de Mestre Affonso Dominguez . (qui est historiquement certain d’avoir été l’un des architectes du monastère de Batalha), l’élevant à l’immortalité légendaire, avec l’épisode de la fermeture du caveau de Batalha et la mort ultérieure du vieux maître, après trois jours d’isolement sous celui-ci. , comme preuve de confiance qu’elle ne s’effondrerait pas et conclusion emblématique que  la voûte n’est pas tombée ; le coffre-fort ne tombe pas dans le pays .Nous aussi, francs-maçons assidus de la Loge Mestre Affonso Domingues, sommes très honorés par notre patron et sa dimension légendaire et, avec confiance, nous déclarons que, par rapport à notre Loge bien-aimée, ni la voûte ne tombera, ni ses les colonnes ne s’effondreront pas. , tant qu’ils existent, au moins sept membres de la Loge sur la face de la Terre.

Publié sur le Blog « Apart stone » le 21 janvier 2009

A.S.: