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La légende de maître Hiram selon le blog « Chroniques de l’Histoire »

« Hiram Abif devint l’artisan et le fondeur des colonnes d’airain du temple de Salomon. La tradition maçonnique souligne qu’il dirigeait la construction du temple et qu’il avait en charge la responsabilité de tous les ouvriers en leurs grades et fonctions. »

« Chroniques de l’Histoire Le blog« , tel est le nom de ce blog apparu le 18 décembre 2010… Nous n’avons pas grand chose sur son auteur, un ou une dénommé(e) « Fleurs68« . Le but cherché est quant à lui  plus explicite : « L’histoire se lit en tous sens. Qu’elle s’exprime par le long temps des mouvements profonds de la vie économique ou des évolutions culturelles, par le temps bref des aperçus quotidiens ou par le temps moyen dans lequel s’inscrit l’expérience des génération »

Donc depuis le 18 décembre 2010 : 3 articles de parus dont l’un qui nous intéressera « La Légende de Maître Hiram »….

Extrait :

Salomon voulait que l’Arche d’Alliance soit placée dans un endroit digne d’elle. Pour cela il fallait bâtir un temple. On confia la direction des travaux à un habile ouvrier qui venait de Tyr, Hiram. Il dirigeait les hommes, mais il en avait un si grand nombre à payer qu’il ne pouvait pas tous les reconnaître. Pour résoudre ce problème, il fixa pour chaque catégorie de travailleurs (apprenti, compagnon et maître) un signe, un mot ainsi qu’un attouchement différent afin de les différenci

Les ouvriers travaillaient sous la direction de leurs chefs mais la distinction que Hiram avait fixée faisait des jaloux. Ainsi trois compagnons voulaient devenir maîtres, sans attendre d’être nommés ce qui aurait pris trop de temps. Ils décidèrent de demander à Hiram les mots, signes et attouchements de maître.

Le guet-apens du temple

Un soir ils se cachèrent dans le temple de Salomon qui n’était pas encore achevé, l’un au Midi, l’autre au Septentrion et le troisième à l’Orient.

Comme chaque soir, Hiram faisait le tour des travaux. Comme d’habitude, il entra par la porte de l’occident et après avoir marché s’apprêtait à sortir par la porte du midi.

Il croisa un des compagnons qui lui demanda les mots, signes et attouchements de maître tout en le menaçant d’un marteau qu’il tenait à la main.

Hiram lui répondit calmement que lui n’avait pas reçu les mots de cette façon-là, et que le compagnon devait attendre le temps nécessaire.

Enragé, le compagnon lui donna un coup de marteau sur la tête qui ne tua pas Hiram. Il s’enfuit du côté de la porte du Septentrion. Là, le deuxième compagnon lui fit la même demande, Hiram lui fit la même réponse et reçut un coup de compas du compagnon.

Cette fois-ci encore le coup n’avait pas été assez fort pour arrêter définitivement Hiram qui réussit à s’enfuir du côté de l’Orient.

Le troisième compagnon s’y tenait qui agit comme ses complices. Ce troisième coup fut fatal. Les trois compagnons décidèrent d’enterrer le corps. Il ne faisait pas encore assez nuit. Ils cachèrent donc le cadavre jusqu’au soir.

La nuit tombée, ils prirent la dépouille et la transportèrent en haut d’une montagne ou ils l’enterrèrent, pour reconnaître l’endroit ils plantèrent une branche d’acacia sur sa tombe.

Lire la suite de l’article « La Légende de Maître Hiram« 

A.S.: