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La Franc-maçonnerie dans la Collégiale de Montréal

L »article provient d’un blog du site de l’éditorial « L’Indépendant » qui se nomme « Montréal – Toute l’actualité de la commune« … Montréal n’est la ville du Quebec mais une commune située dans le département de l’Aude, en région Languedoc-Roussillon.

L’article fait donc référence à une « mystérieuse inscription » ou sigle distinctif de la Franc-maçonnerie, le compas, existe bel et bien dans une niche dans la coursive qui sépare le chœur de la collégiale de la Chapelle de Notre-Dame des Anges.

Et a bien y regarder en effet …

Résumé :

Le titre est surprenant mais fort logique lorsqu’on s’intéresse à l’histoire. Cette information communiquée par un féru d’histoire locale et au-delà, un inventeur de trésor (tel est le terme), trésor de renseignements historiques où les traces se regroupent avec les documents séculaires, a été collaborée par l’historien chaurien Paul Tirand auteur de l’ouvrage « Loges et Franc-maçonnerie dans l’Aude». Il ne s’agit pas d’une plaisanterie le sigle distinctif de la Franc-maçonnerie, le compas, existe bel et bien dans une niche dans la coursive qui sépare le chœur de la collégiale et vue son état, peu détériorée mais qui a suivie les signes du temps, fissures et perles de moisissures. En effet un joint qui se trouve sous le sigle a quelque peu bougé et les traits du sigle sont légèrement décalés ce qui confirme l’antériorité et l’authenticité (14° siècle) du fait que nous relatons. Mais il est maintenant important de faire un bon dans le passé. Quand on remonte au temps des « Cathédrales » c’est-à-dire avant le XV° siècle l’église qui recherche de la main d’œuvre et passe un accord avec l’état, plus exactement avec la royauté pour ces artisans constructeurs et embellisseurs de ses grands monuments (la collégiale de montréal en fait partie), les maçons, soient exonérés de taxes et impôts, c’est-à-dire considérés comme exerçant en zone Franche d’où le surnom de Francs Maçons et par delà des « compagnons de devoirs » regroupés dans la Franc-maçonnerie dite « opérative », c’est-à-dire faisant usage de leur connaissances professionnelles et de leur mains pour bâtir.

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A.S.: