Une intrigue policière au temps de Platon : un éphèbe est retrouvé mort dans les rues d’Athènes. Sa mort, annoncée comme l’oeuvre des loups, laisse son mentor perplexe. Celui-ci fait alors appel à Héraclès Pontor, celui que l’on nomme le Déchiffreur d’Énigmes – sorte de Sherlock Holmes des temps anciens – pour découvrir ce qui est véritablement arrivé au mort. Car les indices ne trompent pas le fin limier : il s’agit bien d’un meurtre.
TITRE : La Caverne des idées
AUTEUR : José Carlos Somoza
EDITEUR : Actes Sud (9 septembre 2003)
RESUME : Un éphèbe est retrouvé mort dans les rues d’Athènes. Son ancien mentor à l’Académie sollicite les services d’un fin limier : Héraclès Pontor, le déchiffreur d’énigmes. Le philosophe platonicien et cet Hercule Poirot à l’antique s’emploient avec passion à trouver la Vérité et, accessoirement, le coupable. Car la joute philosophique se superpose à l’investigation policière, tandis que les crimes s’enchaînent.
L’histoire de ces crimes est aussi l’histoire d’un manuscrit qu’un traducteur retranscrit sous nos yeux, l’annotant inlassablement en pensant l’éclairer, ignorant que son destin de personnage est d’établir la revanche de la littérature sur la philosophie, de démontrer que seule la fiction contient toutes les vérités du monde.
En Angleterre, La Caverne des Idées a obtenu le Gold Dagger Prize.