Le co-auteur de « Ce que la France doit aux francs-maçons« maîtrise bien son sujet il est vrai et en quelques lignes rappelle aux détracteurs en tout genre qu’effectivement la Franc-Maçonnerie n’a jamais oeuvré dans l’ombre….
Extrait :
Après la saison des fêtes, des voeux, voici venir la saison des marronniers sur la Franc-Maçonnerie qui provoquent un sentiment ambivalent chez les Soeurs et les Frères. D’un côté, il y a quelque chose de flatteur dans le fait de faire l’objet de manière récurrente de “une” de magazines sérieux et respectables. On ne peut toutefois s’empêcher de penser qu’il faut y voir plus un souci d’augmenter les ventes et les tirages qu’un véritable hommage.
Au delà de cet aspect des choses, les Soeurs et les Frères peuvent parfois être agacés par cette pluie d’informations qui véhicule davantage les clichés que la réalité de la pratique maçonnique.
Quelques mises au point
Avant tout, c’est un abus de langage de parler de la Franc-Maçonnerie quand on veut coller au réel. Il faudrait dire les Francs-Maçonneries. N’y voyez pas là une volonté de cliver, mais plutôt celle d’être conforme aux deux voies majeures empruntées par les maçons. Il y a la voie primitive et la voie libérale.
- Consulter la suite de l’article de Laurent Kuperfman « Non, la Franc-Maçonnerie n’a jamais oeuvré dans l’ombre pour faire sombrer l’État«
Ouvrages de Laurent Kupferman :
– Le Paris des francs-maçons
– Les grands textes de la franc-maçonnerie décryptés
– Ce que la France doit aux francs-maçons