« La franc-maçonnerie n’est que le reflet de la société » est une phrase souvent énoncée par nous-mêmes, francs-maçons, aux fins d’excuser nos errements mais cette fois-ci c’est Irène Manguy qui l’a prononcé lors de son entretien avec l’éditorial « Midi Libre«
Irène Manguy rappelons propose ce samedi 19 mars à 15 h 30, une rencontre-débat à la Librairie Suramps à Ales, autour de son dernier ouvrage, ‘la franc-maçonnerie clarifiée pour ses initiés‘ qui vient de paraître, .
Extrait :
Quel pourrait être le sous-titre de votre dernier ouvrage, ‘la franc-maçonnerie pour les nuls’ ? (Erreur…de la part de Midi Libre)
On pourrait dire que c’est la franc-maçonnerie revue depuis le livre de l’apprenti, d’Oswald Wirth, publié en 1884 et qui continue d’être le plus lu. Ça remonte quand même à la IIIe République, l’année de l’assassinat du président Sidi Carnot et de la condamnation du capitaine Dreyfus. C’est dire à quel point les francs-maçons sont à l’avant-garde…
À quoi servent ces rituels qui paraissent si poussiéreux et si loufoques ?
Avant une opération chirurgicale par exemple, on aseptise les instruments, les médecins revêtent certains vêtements. C’est exactement la même chose pour les rituels maçonniques. Il est essentiel de comprendre qu’à l’origine tout était symbolique et qu’on a perdu ce lien avec le sacré.
Avec le compagnonnage, la franc-maçonnerie est la dernière voie qui permet une filiation spirituelle. Sans le rituel, ce serait franchement le café de la gare.
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