Un jour, fatigué, le diable décida de prendre sa retraite.
Comme sa couverture sociale n’était pas suffisante, il décida, pour arrondir ses fins de mois, de vendre sa trousse à outils.
Tout était là : la méchanceté, l’envie, la jalousie, la haine, l’avidité, la suffisance, le mépris, le cynisme, etc.
Mais l’un des outils était à part et semblait beaucoup plus usé que les autres. Intrigué, un passant lui demanda :
« Qu’est-ce que cet outil, et pourquoi le vendez-vous beaucoup plus cher que les autres ? »
Le diable répondit : « C’est le découragement ».
Mais l’autre insista : « Pourquoi vendez-vous le découragement beaucoup plus cher ? »
« C’est très simple. C’est l’outil le plus facile à enfoncer dans le cœur de quelqu’un. Et lorsque le découragement y a été introduit, il est beaucoup plus facile d’introduire tous les autres outils, quels qu’ils soient. »
(Source inconnue)
Effectivement, la source de ce texte est inconnue, mais c’est une allégorie qui circule largement dans les milieux de développement personnel, religieux ou spirituels, et n’a pas de source unique ou précisément documentée.
Il est souvent attribué à des auteurs anonymes ou utilisé comme illustration dans des enseignements spirituels ou motivants, en particulier dans des contextes chrétiens ou philosophiques.
Sa symbolique simple mais puissante en fait un outil de réflexion sur les dangers du découragement comme porte ouverte aux autres faiblesses ou vices humains.