Depuis leurs trois siècles d’existence, les francs-maçons ont toujours suscité autant la curiosité que la crainte des historiens et de la société. La franc-maçonnerie est en effet décrite comme formant un ensemble indivisible et influent, notamment dans le traitement de certains dossiers sociaux importants dans l’histoire. À l’heure actuelle, nul ne peut se prétendre en mesure d’apporter des informations plus complètes sur les actions et les influences tangibles de cette fraternité. Pourtant, il n’en demeure pas moins que les hypothèses autour d’un espace de sociabilité tendent à se confirmer au fil des années. Guy Arcizet est justement un ancien grand maître du Grand-Orient et se retrouve sur le plateau de Zemmour et Naulleau afin d’éclaircir ce point relativement délicat de prise de pouvoir. En tant que membre à part entière de la franc-maçonnerie, Guy Arcizet évoque que malgré les fantasmes qui pourraient circuler à l’égard de l’entité originelle, il n’est pas encore possible de valider l’assertion selon laquelle les francs-maçons auraient une main mise sur la politique française, même si ce dernier ne dément pas que tel cas de figure serait fort apprécié par sa confrérie. Néanmoins, la franc-maçonnerie a une implication palpable dans les décisions relatives à l’IVG par exemple et à la peine de mort. D’autre part, les rites initiatiques qui représentent une pratique fondamentale au sein de la fraternité, combinés à l’influence grandissante du groupe, ont invariablement soulevé bon nombre de théories effrayantes sur la détention de pouvoirs occultes parmi les membres. Un postulat que Guy Arcizet semble vouloir prendre sur le ton de la plaisanterie. Retrouvez Zemmour et Naulleau sur Paris Première.