Il estime que les décisions prises par Stifani de suspendre l’obédience et de dénoncer les accords d’amitiés sont « sont nulles et non avenues, François STIFANI ayant démissionné de sa charge à la tête de l’obédience le 21 janvier dernier, de sorte que tous les actes qu’il entend prendre sont dénués de toute légitimité et inopérants.«
En outre, il affirme sa régularité et son indépendance attachées « au Rite dans son ensemble et reconnue par les patentes qui nous ont été régulièrement délivrées par les
juridictions de pays étrangers qui en avaient hérité par le passé de la maçonnerie régulière française.«
Consulter le courrier/communiqué du Grand Chapitre Français