Cet atelier de la Grande Loge Féminine de France vient de s’installer en terre picarde : il est assez rare de voir un vénérable d’une loge s’exprimer en cet occasion … l’extériorisation de la franc-maçonnerie est bel et bien d’actualité…
Extrait :
La Grande loge féminine de France ouvre une annexe dans la cité des Pastels. Sa vénérable maîtresse dévoile une part du mystère.
Une nouvelle loge maçonnique (« Tolérance et fraternité ») vient de voir le jour fin février à Saint-Quentin. Après, les frères du Grand Orient de France et de trois autres obédiences majeures, c’est au tour des sœurs de la Grande loge féminine de France (GLFF) de s’implanter dans la cité des Pastels. Sa vénérable maîtresse – ou sa présidente pour les profanes – Marie-Danièle Tramu met en lumière le « travail » de ses sœurs et tente d’éteindre les fantasmes.
Pourquoi ouvrir maintenant une loge à Saint-Quentin ?
Parce que la GLFF n’était pas représentée ici. Il y en a une à Cambrai, une à Valenciennes, une à Laon mais rien jusqu’à présent à Saint-Quentin. C’est un manque. D’autant qu’une ancienne loge de la GLFF y a été dissoute il y a une soixantaine d’années.
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