L’un de ses derniers articles, « Franc-Maçonnerie : les dérives de l’amitié » s’attaque donc bien entendu aux francs-maçons et à leur « supposée » fraternité.
Source : http://v.i.v.free.fr/spip/spip.php?article3954
« L’amitié peut-être une école du vice. Elle est ambivalente. Elle rend pires les malveillants. » C.S. Lewis, Les Quatre Amours.
Parfois, un cercle peut commencer à se mêler d’enjeux matériels. Il peut s’élargir avec habileté à des candidats, dont l’affinité pour l’intérêt commun initial est négligeable, mais qui sont considérés (sans plus de précision) comme des « hommes de confiance ». Le cercle acquiert du pouvoir. En faire partie commence à prendre une certaine importance politique, même si l’espace visé se limite à un régiment, un collège ou une paroisse. La manipulation de comités, la captation de postes clefs (au profit d’hommes de confiance), l’unité face aux laissés-pour-compte prennent le pas sur toute autre activité. Ceux qui se rencontraient pour parler de Dieu ou de poésie le font à présent pour s’entretenir de chaires d’université ou de carrières. Remarquons à quel point le sort qui les attend est juste. « Tu es poussière et tu retourneras à la poussière », dit Dieu à Adam. Un cercle d’amis s’abaissant ainsi à devenir un groupe d’influence rétrograde au rang de la simple camaraderie, dont il est issu. Il forme à présent le même genre de corporation qu’une horde de chasseurs. Voilà précisément ce qu’ils sont devenus : des chasseurs, et pas de la catégorie que je respecte le plus.