La Fédération Française de l’Ordre Maçonnique Mixte le DROIT HUMAIN avait dès 2002 publié des propositions permettant de lutter contre le fléau des violences faites aux femmes.
Elles comportaient surtout des mesures préventives comme l’inscription de ce problème dans les formations initiales et continues de tous les professionnels concernés (magistrats, policiers, avocats, gendarmes, médecins, travailleurs sociaux, enseignants….), la généralisation de l’information en milieu scolaire sur le respect mutuel entre garçons et filles et la disparition des stéréotypes de comportement dans les manuels scolaires. Elles préconisaient également d’assurer de manière réelle et efficace l’aide aux victimes en renforçant les moyens financiers dévolus aux organismes compétents dans ce domaine.
Elle réaffirme que le viol est l’expression la plus violente du rapport d’emprise et de domination de l’homme sur la femme et doit être considéré comme un crime et traité comme tel par l’application des lois en vigueur.
Le premier Ordre Maçonnique Mixte, considérant que la mixité est une condition nécessaire au progrès de l’humanité, a été fondé sur le principe, de l’égalité absolue entre hommes et femmes.
Il est indispensable que les femmes bénéficient des mêmes prérogatives et des mêmes obligations que les hommes. Une société juste et fraternelle ne peut tolérer aucune forme de violence telle que manipulations, déchéances, humiliations et agressions contre lesquelles il convient de lutter.