Histoire et symbolique du degré le plus important de la franc-maçonnerie, qui rappelle à la fois les associations professionnelles du Moyen Age et les mystères religieux de l’Antiquité. Cet ouvrage fut rédigé en 1905.
AUTEUR : Eugène Goblet d’Alviella
EDITEUR : Mes Cahiers de Lecture (18 septembre 2013)
A partir de cette date, on observe des Loges qui s’en tiennent aux deux degrés et des Loges qui en pratiquent un troisième. Lee Vernon rapporte, dans « »The History of the Lodge of Kelso » », que, le 7 juin 1754, les membres de cette Loge se réunirent pour recevoir Compagnons un certain nombre de candidats, conformément aux « nouvelles méthodes introduites dans les Loges d’Edimbourg ».
Le procès-verbal ajoute que les Frères « constatèrent comme une lacune essentielle de leur Constitution que cette Loge avait seulement la pratique des deux degrés : Apprenti et Compagnon, ne connaissant rien du degré de Maître… ». En effet, à cette époque, les droits respectifs des Maîtres et des Compagnons diffèrent suivant les temps, les localités et les métiers. Et la distinction des Compagnons et des Maîtres n’était pas affirmée partout. » Les ouvrages de cette maison d’édition sont publiés en corps 16.