Crise de la franc-maçonnerie : défis et opportunités
La franc-maçonnerie est actuellement confrontée à une crise mondiale en raison d’une baisse du nombre de ses membres.
Aucune Grande Loge n’est à l’abri, et beaucoup de nos autres ordres maçonniques souffrent de la même manière.
En 1959, la franc-maçonnerie en Amérique du Nord comptait plus de 4 millions de membres, mais elle en compte aujourd’hui un peu plus d’un million.
Une analyse critique des tendances suggère que d’ici 2043, le nombre de membres pourrait approcher zéro.
Un autre défi auquel la franc-maçonnerie est confrontée est la croissance continue d’un type particulier de franc-maçon qui recherche des ordres, des diplômes, des titres et des postes, pas nécessairement en raison du contenu des différents ordres et diplômes, mais peut-être pour satisfaire un besoin personnel de reconnaissance.
Quel que soit notre diplôme ou notre titre, nous sommes tous Frères dans la Franc-Maçonnerie, et c’est la seule désignation qui compte vraiment.
Le tablier blanc que nous portons confirme notre lien de fraternité, indépendamment des autres symboles ou insignes.
Les titres maçonniques ne génèrent pas de respect ou de valeur intrinsèque pour l’individu, uniquement pour la position qu’il occupe.
Le respect se gagne par notre comportement et nos contributions à la fraternité, et non par l’obtention d’un diplôme ou d’un titre.
De nombreuses réunions maçonniques se concentrent désormais excessivement sur les questions administratives, avec peu d’accent sur la partie rituelle.
Il est inquiétant que certaines loges se targuent de réaliser des réunions en moins de 45 minutes, ce qui démontre un manque d’appréciation pour la franc-maçonnerie.
Un nouveau regard sur la franc-maçonnerie est nécessaire, reconnaissant que la société et les jeunes générations ont des valeurs et des attentes différentes.
La technologie a changé la façon dont les gens interagissent et recherchent la connaissance, et la franc-maçonnerie doit évoluer pour continuer à être pertinente.
La vérité et la quête du savoir sont des concepts attrayants pour les jeunes générations, qui ont grandi dans un environnement d’informations en constante évolution et d’opinions manipulées.
La franc-maçonnerie doit donc proposer une approche plus dynamique et ouverte de la recherche de la vérité et du développement personnel.
Alors que nous sommes confrontés à des défis, nous avons également des opportunités de revitaliser la franc-maçonnerie en proposant des programmes éducatifs plus attrayants et en fournissant un environnement dans lequel les francs-maçons peuvent librement discuter et explorer de nouveaux concepts.
De cette manière, nous pouvons former une nouvelle génération de dirigeants maçonniques passionnés et visionnaires, prêts à façonner l’avenir de la fraternité.
Source : My Fraternity
Il n’est de vent favorzble à celui qui ne sait vers quel port aller.
Le GODF a un objectif améliorer l’H et la société.
Etre FM pour etre FM n’est pas un objectif sauf si le fait d’être FM est « enrichissant ». La cupidité est un vice pas de cela chez nous .
Le savoir ou la culture pour la culture… C’est vain tant il y a à apprendre et puis ne voit on pas mieux avec le coeur ?
L’ouverture aux sœurs ou à « tous les sexe » si le temple n’est pas lieu de prosélytisme sexuel est la voie que je precaunise car on ne peut améliorer une société en ignorant-méprisant- rejettant quelques humains que se soit. Cela vaut aussi pour touted les religions qui dont tolérantes et la phrase « tu ne seras pas un athée stupide » s’appliquera a ceux qui ne croient pas. Bref la laïcité est une solution.
L’utilisation d’outils actuels, en respectant la tradition (informatique sécurisée, pas de dévoilement…) aidera.
L’avenir de la fraternité reste à construire.
Le meilleur chemin sur terre pour tous
Nous réussirons à apporter notre pierre à l »édifice car c’est notre destin ici
Solidarité fraternelle