Le Droit humain a vu le jour à la fin du XIXe siècle, période où les autres obédiences étaient strictement masculines.
Il réunit des hommes et des femmes de bonne volonté, croyants et non croyants, qui souhaitent travailler à leur propre progrès et, au-delà, au progrès de l’humanité.
Pour cela, les francs-maçons du Droit humain travaillent, au sein de leurs loges, selon une méthode rituelle et symbolique qui vise à réinvestir l’espace intérieur et à rechercher une spiritualité propre à chacun et porteuse de sens.
Mais les francs-maçons sont aussi des citoyens et en temps que tels, ils travaillent des questions sociales diverses et peuvent proposer leurs réflexions sur différents thèmes : la fin de vie, l’alimentation mondiale, la laïcité, etc.
Source : La Nouvelle République