X

Condom – Franc-Maçon entre la loge et la cité

Condom – A l’occasion des 10 ans d’exsitence de la loge maçonnique  les «Frères de la Ténarèze» de la Grande Loge de France (GLDF) à l’orient de Condom, Alain Noël Dubart, ancien Grand Maître de la GLDF donnera une conférence sur le thème « Franc-Maçon entre la loge et la cité« 

L’éditorial « La Dépêche du Midi » a relayé cette manifestation dans un article « Condom. Les dix ans des Frères de la Ténarèze« 

Leur temple est aussi discret que leur existence dans la cité. S’ils ne se cachent pas, les «Frères de la Ténarèze», loge condomoise de la Grande loge de France, reconnaissent que leur discrétion a de quoi rendre mystérieuses leurs pratiques aux yeux de beaucoup. Un constat qui n’est certainement pas étranger à la formule qu’ils ont choisie pour célébrer le 10e anniversaire de leur loge. «Nous allons accueillir Alain-Noël Dubart, grand maître de la loge de France de 2009 à 2012, pour animer un débat sur le thème du «franc-maçon entre la loge et la cité», vendredi 27 septembre, à 20h30, dans la salle Pierre de Montesquiou», annonce Pierre, frère de la loge, dont on ne sera rien de plus. «Il n’y a rien de secret. Nous ne nous cachons pas mais nous restons discrets», reconnaît Gilbert. En attendant, les frères condomois lèvent le voile pour évoquer le parcours de leur loge depuis dix ans. «Sa création s’est constituée autour de francs-maçons qui s’installaient dans la région et ne savaient pas où s’adresser. Nous avons choisi le nom de «Frères de la Ténarèze» en référence à ce chemin de crête qui illustre bien notre démarche. Au départ nous étions 18 et restons autour d’une vingtaine aujourd’hui», relate Jean-Claude. Des francs-maçons véritables bâtisseurs puisqu’ils ont eux-mêmes construit leur temple dans ce qui n’était au départ qu’un hangar. Des frères qui autour du «rite écossais ancien et accepté» cultivent une démarche humaniste et spirituelle. «Notre rite est le plus ancien; chaque obédience a le sien. Nous, nous n’abordons ni la politique ni la religion et nous accueillons tout le monde, croyants ou agnostiques, dans le respect des opinions de l’autre», poursuit Jean-Claude. Dans les textes, chaque «planche» ou temps de travail des frères, est mené à la gloire du grand architecte de l’univers. Dans les faits, «chacun met là ce qu’il veut. Nous travaillons à l’amélioration de l’humanité, tant spirituelle que matérielle en essayant de nous améliorer nous», résume Gilbert. Un univers à découvrir le 27 septembre (entrée libre).


A.S.: