AVEC Judith MEHL, BIOCHIMISTE, SPÉCIALISTE en SANTÉ PUBLIQUE

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Le développement accéléré des nouvelles technologies en matière d’intelligence artificielle, de biochimie, de fécondation in vitro, de génie génétique avec le risque d’eugénisme, de procréation médicalement assistée, de tri d’embryons, d’interventions directes sur le génome avec les ciseaux moléculaires, etc…, ne peut que susciter force interrogations éthiques.

François Rabelais, déjà, en 1532, écrivait dans le Pantagruel :

            “Mais parce que, selon le saige Salomon, Sapience n’entre poinct en âme malivole, et science sans conscience n’est que ruine de l’âme, il te convient servir, aymer et craindre Dieu,…“ 

Cette citation hyperconnue (mais incomplète) a le mérite de rassembler en quelques mots les éléments essentiels de nos interrogations actuelles.

Les Maçons ne doivent-ils pas y prêter attention au même titre que les scientifiques ?

Spécialiste de santé publique, Judith Mehl en assure le pilotage dans le cadre de l’initiative ETHIK_IA

            Elle intervient dans de nombreux colloques et accompagne différentes structures

dans le domaine de la santé.

            Fondatrice d’“Ensemble Concernés“, elle contribue au débat public sur des thématiques de prévention.

            Présidente de JM Conseil, elle développe une activité de conseil en stratégie auprès d’agences sanitaires, d’entreprises du médicament, en ce qui concerne organisation et communication.

            Judith Mehl est également directrice de la communication et des affaires publiques au sein du groupe Jouve

            Elle est l’une des co-auteurs de : “La révolution du pilotage des données de santé : enjeux juridiques, éthiques, et managériaux“ – Ouvrage collectif, LEH, mai 2019-