Petite obédience marginale au recrutement à prédominance anglo-saxonne jusqu’au milieu des années 1960, la Grande Loge Nationale Française est ainsi devenue, en un demi-siècle, la seconde puissance maçonnique française et la première grande loge régulière du continent européen.
Chroniques d’Histoire de la Grande Loge Nationale Française : des faits et des hommes
de Francis Delon (Auteur) – Editions La Tarente – Septembre 2024 – 272 pages
Son développement résulta d’abord de l’arrivée, en 1965, de près d’un millier de frères de la Grande Loge de France hostiles au rapprochement avec le Grand Orient de France et à l’adoption d’un rite à la dimension universelle, le Rite Écossais Ancien et Accepté.
Il s’appuya également sur une doctrine exposée en 1968 par Jean Baylot dans son ouvrage La Voie substituée où il démontrait que la maçonnerie française s’était égarée depuis la Révolution dans le combat politique et l’anticléricalisme. Constituée sous son égide en 1964, la loge de recherches Villard de Honnecourt n° 81 s’attacha au même moment à diffuser les travaux historiques méconnus de la Quatuor Coronati.
- Lire l’article dédié sur le site de la GLNF : La Franc-Maçonnerie, page après page
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après avoir avaler un grand nombre de couleuvres au GODF, et après 35 ans passés dans cette obédience, j’ai pris il y a 12 ans la décision de quitter ce mouvement quii devenait à mes yeux de plus en plus une structure intermédiaire qu’un ordre initiatique. je m suis donc ouvert aux autre obédiences, très attiré par la GLNF, je me suis rendu compte que cette obédience cultivait un élitisme social et économique dans lesquels je n’étais pas de part ma condition et mon économie , j’en garde un certain regret car la reconnaissance internationale par la Grande Loge de Londres m’attirait …
Non reconnue mais parfaitement régulière je suis entré à la GLDF où je suis bien mais la non reconnaissance est pour moi une petite douleur… pas assez riche, pas assez publique je suis un Maçon qui n’a pas sa place à la GLNF.
Mon TCF Philippe,
La reconnaissance est une belle chimère… sauf peut être dans les pays anglo-saxons… et encore.
Ayant été moi même dans une obédience « non reconnue mais parfaitement régulière », j’ai travaillé 4 ans en Afrique… tous les soirs ou presque je visitais.