Les rapports entre franc-maçonnerie et religion ont souvent été conflictuels et le restent encore de nos jours. L’anticléricalisme en France a été largement relayé par les milieux maçonniques, et la loi de séparation de l’Eglise et de l’Etat a été voulue par le maçon Emile Combes, anticlérical notoire.
Même si de nombreux contacts existent entre maçonnerie et Eglise, l’excommunication prononcée par le pape Clément XII en 1738 demeure toujours active, comme l’a confirmé, au nom de la Sacrée Congrégation pour la Doctrine de la Foi, son préfet le cardinal Ratzinger, en 1983.
- Comment la franc-maçonnerie, qui s’affirme comme un mouvement spirituel, se positionne-t-elle par rapport aux religions ? Devrait-on distinguer spiritualité et religion ?
- Esotérisme et exotérisme sont-ils compatibles ?
- Les francs-maçons qui se définissent comme des cherchants peuvent-ils être aussi des croyants ?
- La Bible ou tout autre livre d’une religion révélée a-t-il sa place en loge ?
- Le grand Architecte de l’Univers est-il Dieu ? Un franc-maçon est-il athée, agnostique, ou déiste ?
- Monothéisme, polythéisme ou encore animisme se retrouvent-ils dans la franc-maçonnerie ?
- La Franc-Maçonnerie peut-elle constituer la base d’une spiritualité laïque qui, à l’heure de la mondialisation, pourrait réunir les hommes autour de la recherche du divin au lieu de les diviser comme le font les religions ?
Lieu : Restaurant 47 avenue 47, avenue Janvier à Rennes