Extrait : A la barre du tribunal correctionnel d’Angoulême hier, Daniel Berthelot, 67 ans, a fini par vider son sac. Il l’a déclaré publiquement: à l’origine de l’affaire qui l’a conduit devant la justice pour répondre des chefs d’abus de confiance, faux et usage de faux en écriture, il y a d’abord une histoire d’amitié entre francs-maçons. Une amitié ou plutôt une trahison: celui qui comparaissait, ancien de la Grand Loge nationale française (GLNF, l’une des trois plus importantes obédiences maçonniques) accuse un autre frère, membre de la Grande Loge nationale de France (GLF) d’être «le malfaisant» à l’origine de tout. «Je lui ai fait confiance parce que dans cette congrégation [les francs-maçons NDLR], on se fait confiance.»
- Lire l’article « Affaire de gros sous sur fond de franc-maçonnerie » de Stéphane Urbajtel.