Cette Une du Parisien ne vient pas redorer le blason de la Franc-Maçonnerie.
Le titre est facile et comme le souligne « Entrelescolonnes » :
« Avec ce genre de titres pleine page, on est parti pour des années d’amalgames et de sous entendus. L’horreur de cette histoire et la dérive criminelle de 4 « francs-maçons » vont balayer tous les efforts pour corriger les fantasmes liés au secret et à la solidarité…«
Si ces voyous s’étaient rencontrés dans un club de bridge, parlerait on de « Tueurs Bridgeurs » ?