A l’occasion de la sortie du » Feux Sacrée« , katherine Neville (auteur du fameux roman-thriller ésotérique « Huit »), a donné une interview à l’éditorial Le Point. Elle évoque qu’il est encore question dans son nouveau roman d’alchimie, de francs-maçons, d’astrologie, de sciences occultes de toutes les époques et d’une foule de personnages célèbres.
Le « Huit » était sortie en 1988 et c’est donc 20 ans après que sort un nouvel opus : une suite sans en être une car il met en scène Catherine Velis, jeune experte en informatique, est une spécialiste des échecs.
Le Mot de l’éditeur : « Le feu sacré »
Après « Le Huit », La partie continue…
1791, Sud de la France. Alors que la Révolution bat son plein, les biens de l’Église sont menacés. Au cœur des Pyrénées, la mère supérieure de l’abbaye de Montglane charge ses religieuses de disséminer à travers le monde les pièces d’un mystérieux jeu d’échecs. Très convoité, ce jeu recèle un secret, et bien vite les grands de ce monde deviennent des pièces, blanches ou noires, figures ou simples pions, qui vont se livrer, à l’échelle du globe, une partie sans merci.
2003 : Catherine Velis et Alexander Solarin ont réussi à réunir toutes les pièces du jeu de Montglane, qu’ils ont mis à l’abri de redoutables convoitises. Leur fille Alexandra reçoit un message de Catherine la conviant à fêter son anniversaire dans la demeure familiale du Colorado. Lorsqu’elle arrive, sa mère a mystérieusement disparu, lui laissant d’étranges indices cryptés, en particulier un échiquier avec une partie en cours. Le Grand Jeu aurait-il recommencé ? Quand Alexandra apprend qu’une des pièces les plus importantes du jeu a refait surface, il n’y a plus de doute à avoir.
Après « Le Huit », Katherine Neville tisse à nouveau, des sables de Fès jusqu’en Alaska, une toile d’exception où se croisent de nombreux personnages historiques : Talleyrand, lord Byron, Napoléon Bonaparte, etc. Elle fait preuve d’un talent vertigineux dans sa façon de réécrire l’histoire, enchaînant les déplacements de pièces les plus audacieux et les résolutions d’énigmes jusqu’à un final proprement sidérant.
Le Feu sacré, de Katherine Neville, traduit de l’américain par Edith Ochs (Ed. Le Cherche-Midi, 480 pages)